La fraude fiscale
Par Matt • 23 Mai 2018 • 772 Mots (4 Pages) • 523 Vues
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Concernant tout d'abord les conséquences sur la démocratie, une atteinte à la justice sociale fait apparition.
Effectivement, des citoyens payent pour d'autres, c'est une véritable injustice.
Le principe de l'égalité devant l’impôt n'est pas respecté.
En effet, ces citoyens respectant les lois voient leur charge fiscale injustement alourdie parce qu'ils doivent compenser pour ceux choisissant la fraude.
Selon Natalie Nougayrède Editorial, «les paradis fiscaux sont une menace pour la démocratie».
Cette idée d'injustice sociale est bien affirmé par Guillaume Pitron, « Or, lorsque ce sont les escroqueries légales qui deviennent la norme, plus personne n'assume les crises à répétition, sauf, en dernier recours, le contribuable».
Ensuite concernant les conséquences sur les politiques intérieures, nous faisons face à la diminution de rendement.
Ce phénomène provoque des pertes de revenus énormes pour le gouvernement.
Ces pertes affaiblissent directement son niveau d'endettement et par conséquent diminue sa capacité d'offrir des services aux besoins de notre société.
Enfin, les conséquences concernant les politiques extérieures.
Cette fraude fiscale peut susciter des conflits entre d'une part les états bénéficiaires de la fraude et d'autre part ceux qui supportent le poids de ce phénomène.
Cette dernière peut être aussi à l'origine des conflits socio-politiques entre plusieurs états.
Afin de combatte ce phénomène très présent l’État devrait aménager un monde avec plus de régulations, instaurer une équité concernant la politique salariale en vue d'éliminer toutes les insatisfactions et tout mécontentement au travail se transformant en grève.
On devrait par la même occasion améliorer les conditions de travail pour tous les agents de la fonction publiques, qui les mettront à l'abri de toute tentative de corruption.
Ensuite, traitons d'un sujet faisant débat dans le monde politique actuel : la mondialisation financière.
Cette dernière est susceptible d'améliorer le sort de tous, mais elle ne le garantit pas.
Le pays devrait à la fois libéraliser ses mouvements de capitaux, maintenir un système de charge fixe et mener une politique monétaire indépendante.
C'est à dire, soumise aux objectifs internes qu'ils se définissent en termes d'inflation, de croissance et de plein-emploi.
Et dans un dernier temps, pourquoi pas moderniser l'administration fiscale?
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