Etude de cas Michel et Augustin
Par Orhan • 22 Août 2018 • 1 047 Mots (5 Pages) • 714 Vues
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succès de l’entreprise sont multiples, et se confirment jour après jour :
Les entrepreneurs :
- Ils sont ambitieux, à la recherche du produit qui va satisfaire le client.
- Ils décident de créer cette entrepris en suivant leurs goûts et leurs intuitions.
- Amoureux de la « bonne bouffe » et des recettes de grands-mères.
- Les créateurs sont proches de leurs consommateurs, et sont 100% vrai. Notamment, nous voyons cela par le biais de leurs événements pour rencontrer les consommateurs dans des bars par exemple ou tout simplement dans le siège social de Bananeraie tous les premiers jeudis du mois.
Actions entrepreneuriales :
- Fabrication de recettes de grands-mères que tout le monde peut réussir, qui peut également nous faire rappeler notre enfance avec des recettes qu’on a pu faire nous même plus petit.
- Une vraie cuisine : produit gourmand.
- Une traçabilité : être transparent dans leurs choix des ingrédients comme les fruits par exemple.
- L’humour au second degré et l’humeur à l’autodérision : avec leurs campagnes publicitaires où ils assument de se déguiser eux-mêmes. Cela donne une image des dirigeants accessible et vrais qui permet de se sentir plus proche d’eux, de leurs idées et donc de leurs produits.
- Valorisation du savoir-faire français.
- Les créateurs souhaitent une approche marketing et un packaging moderne pour se démarquer des codes existants.
Contexte entrepreneuriale :
- L’entreprise décide de s’implanter dans un marché déjà saturé, mais la firme souhaite apporter une touche supplémentaire par rapport aux concurrents, dont les consommateurs sont un peu « blasés », en ajoutant un marketing non distancié, et plus percutant auprès des consommateurs.
Question 5 : Selon vous, quelles sont les questions qui se posent aujourd’hui à la marque ?
Plusieurs questions se posent aujourd’hui à la marque, elle doit faire face à un certain nombre d’enjeux.
Tout d’abord elle doit se centrer sur un positionnement bio qui est en plein essor. Cependant cela reste assez complexe puisque si la marque se met au bio, il peut y avoir des problèmes en terme de CO2.
De plus, il faut que la firme puisse gérer sa croissance, tout en sachant gérer sa distribution et en restant fidèle à ses idées originelles tout en se structurant...est-elle capable de cela ?
La marque devra peut-être par la suite ouvrir un bureau de marketing si elle continue de progresser sur son chiffre d’affaires.
Doivent-ils par la suite continuer de s’élargir sur la segmentation ou définir une segmentation de client précise afin de se concentrer sur cette dernière ?
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