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La structure de l'entreprise management

Par   •  27 Mars 2018  •  773 Mots (4 Pages)  •  501 Vues

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L’ajustement mutuel : la coordination du travail est assurée par la communication informelle (simple échanges entre les personnes)

La supervision directe : la coordination du travail est assurée par le biais d’une seule personne qui donne les ordres et les instructions à plusieurs autres qui travaillent en interrelations.

La standardisation des procédés : la coordination est effectuée en spécifiant les procédés de travail de ceux qui doivent réaliser des tâches.

La standardisation des résultats : la coordination du travail est effectuée en indiquant un objectif. Le salarié organise son travail pour atteindre ce résultat.

La standardisation des qualifications (et du savoir) : la coordination du travail est garantie par la formation et les compétences spécifiques de celui qui exécute le travail.

- Le contrôle des activités

Le contrôle désigne une fonction du management par laquelle s’opère le suivi des activités. Il vise à vérifier la conformité des préconisations ou des objectifs de départ avec les réalisations. Il doit identifier des écarts et proposer des actions de corrections. Il concerne tous les niveaux hiérarchiques. Le contrôle peut être effectué en interne. Il peut également être confié à un organisme extérieur. Le contrôle des activités est influencé par la culture de l’entreprise, les modes de coordination et le degré de centralisation.

Dans une entreprise fortement centralisée où la supervision directe est dominante, les contrôles sont importants. Ils s’appuient sur des procédures administratives parfois contraignantes en privilégiant l’autorité. A l’inverse, dans une organisation décentralisée dans laquelle les responsables ont une forte autonomie, le contrôle repose principalement sur la vérification des résultats des objectifs.

- Les apports de Mintzberg et d’Aoki

- Les composants de la structure selon Mintzberg

Une ligne hiérarchique – verticale du sommet hiérarchique jusqu’au exécutant.

Le dirigeant fixe les objectifs à moyen et long terme et contrôle globalement leur réalisation. Différents niveaux de cadre.

Voir document 6 p10.

- L’analyse d’Aoki

Dans l’entreprise hiérarchique (H), les ouvriers d’un atelier de production travaillent sous l’autorité directe du chef d’atelier. Ces ouvriers ne communiquent pas d’un atelier à l’autre. En cas d’imprévu, la coordination est verticale : c’est le responsable qui prend une décision à partir des informations remontées par les opérationnels.

Dans l’entreprise japonaise (J), les salariés sont autonomes. Ils communiquent abondamment entre ateliers. En cas d’imprévu, leurs compétences élargies leur permettent de se coordonner.

Selon Masahiko Aoki, l’entreprise J, ayant une structure plus souple et une structure plus souple et un système d’information plus horizontale que l’entreprise H, est plus efficace et mieux adaptée aux environnements contemporains très incertains.

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