Psychologie de la personnalité cas

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La croissance et le développement sont des éléments d'une grande importance en psychanalyse. L’individu progresse par stade et c'est durant le premières années de vie, qui constitues également les première expériences, que chaque personne forme les bases de sa personnalité. Le stade oral, qui est le premier stade du développement de la personnalité, désigne la période de la vie pendant laquelle la bouche est le centre de l’excitation et de la tension corporelle. Elle ce voit chez les nouveaux nés. Le deuxième stade de développement est le stade anal. Il s'agit de la période de la vie pendant laquelle l'anus est le principale centre d’excitation et de tentions corporelle. C'est durant cette période que les enfants de deux et trois ans commence à maîtriser leurs sphincters, ce stade leur donne un sentiment de pouvoir et de maîtrise. Viens ensuite le stade phallique, c'est durant cette période de vie que l’excitation et la tension commence à se concerter sur les organes génitaux. Durant cette période, les garçon peuvent être attiré par leur mère, il peuvent alors considérer leur père comme un rival, ce phénomène est appelé le complexe d’œdipe. L'enfant peut alors ressentir l’angoisse de castration, il s'agit d'un concept freudien qui désigne la peur de ce faire couper le pénis par son père. Pour leur part, les fillette peuvent ressentir l'envi d'avoir un pénis. À la suite de la résolution du complexe d’œdipe, l'enfant ne rejette plus le parents du même sexe, mais s'identifie plutot à lui. Le stade suivant est la période de latence, c'est la période durant laquelle la baisse des pulsions et de l'intérêt sexuels est la plus importante. Le stade génital est le suivant et c'est durant cette période que la puberté arrive.

Pour sa part, l'approche phénoménologique de Carl Rogers est bien différentes. Il part avec le principe que nous sommes tous foncièrement bon. Ses propos laisse entendre qu'il perçoit l'être humaine de façon très positive. Son approche est fondé sur le concept de soi, elle ce caractérise par un ensemble organisée et cohérente des perceptions. Contrairement à l'approche de Freud, le concept de soi reste essentiellement conscient. Rogers a élaboré un concept connexe qui ce nomme le soi idéal, il correspond aux perceptions et aux significations qui pourrait s'appliquer au soi mais auxquelles la personne accorde un grande valeur. Il s'agit donc d'une image de soi que l'individu aimerait posséder. Pour évaluer le concert du soi, Rogers utilisait la technique du Q-sort. Elle consiste à classer les propositions telles que des traits de personnalité ou des qualités, en ordre de pertinence pour le participant.

Les Processus de l'approche phénoménologique met l'Accent sur les changement et seulement un petits nombres de concepts structuraux sont nécessaires. Premièrement nous avons l'actualisation, elle consiste à s'actualiser par soi même, à s'épanouir et à réaliser son potentiel. L'estime de soi est une des façons de mesurer la tendance à l'autoactualisation il s'agit d'un jugement personnel et positif de soi- même. Comme seconde approche, il y a la cohérence qui est un concept rogérien exprimant l'absence de conflit dans les perceptions de soi. La congruence pour sa part exprime l'absence de conflit entre l'expérience et le concept du soi. Il s'agit également d'une des trois conditions jugées essentielles pour la croissance et le progrès d'une thérapie. Il y a ensuite l'incongruence, ce concept désigne l'existence d'un désaccord ou d'un conflit entre le concept de soi et l'expérience. Selon Rogers, l'angoisse serait dû à l'incongruence, ça arriverait quand l'individu ce perçois d'une certaine manière mais qu'il agirait tout de même de façon contradictoire. Le processus suivant et celui de perception infraliminaire, il s'agit d'un mécanisme de défense qui nous permet de nous tenir sur la défensive avant même qu'un conflit avec le concept de soi ne soit perçus dans notre conscience. Ainsi, en nous tenant sur la défensive, nous tentons d'éviter de prendre conscience d'une situation qui pourrait rentrer en conflit avec soi. Le prochain mécanisme de défense est le déni, c'est le processus par lequel nous bloquerons les sentiments menaçants. Nous pourrions également utilisé la déformation, elle consiste à modifier l'expérience vécu pour la rendre plus conforme au concept du soi.

Carl Rogers n'a pas créé de théorie de la croissance et du développement. Il n'a pas non plus fait de rechercher sur les interactions entre les parents et les enfants. Il croyait fermement que chaque individus avait un processus de croissance naturel et que ce processus était complexe, qu'il nécessitait une plus grande autonomie et une plus importante socialisation. En d'autre mot, c'est ce qu'il appelait l'autoactualisation. Pour que le soi d'un enfants puisse bien ce développer, il doit être dans un état de congruence. Pour qu'il puisse bien s'épanouir, l'enfant doit évoluer dans un milieu qui lui permet de s'accepter et d'être accepter de ses parents. S'il pense que c’est parents on une opinion positive de lui , il aura confiance et il s’appréciera, d'un autre côté, si l'enfant croit que c'est parent ont une opinion négative de lui, il aura peu confiance et aura une opinion négative de lui. L'estime de soi est un aspect très important dans le développement de la personnalité. Pour les enfants, c'est à la maison que tout commence avec la capacité d'accepter l'enfant en lui démontrant de l'intérêt et de l'affection, il ce sentira donc important au yeux de sa famille. L’interaction parente enfant et la discipline est également important pour l'estime des enfants. Il y a aussi l'aspect démocratique qui y joue un rôle, pour ce faire, les parent fixe plusieurs règle mais en laissant aux enfants une liberté d'expression de leurs droits et de leurs opinions.

C'est deux approches sont bien différentes l'une de l'autre, la première affirme que la personnalité d'un l'individu ce forme en fonction de son environnement et de la société dans laquelle il évolue. C'est ce qui en fait une approche dynamique. La psychanalyse accorde également une grande importance à l'inconscient et est une approche assez complexe qui analyse l’individu dans sa totalité. Freud croyait que les principales composantes