Maladies nutritionnelles

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- OSTEOPOROSE ET FRACTURE DES OS :

Les fractures dues à la fragilité des os téoporose roses touchent les personnes âgés. Une consommation suffisante de calcium (500mg/jours ou plus) et de vitamines D dans les populations aux taux élevés d’os temporise aide à réduire le risque de fracture comme le font aussi .l’exposition au soleil et l’activité physique qui renforcent les os et les muscles.

- Les infections dentaires :

Les carries sont des conséquences de la consommation fréquente des aliments riche en sucre. L’environ des dents par des acides alimentaires contenues dans les breuvages ou d’autre aliments acides peut favoriser la destruction des dents ; une autre conséquence de la malnutrition.

C- LES MALADIES NUTRITIONNELLES DANS LES PAYS DEVELOPPES

On rencontre dans les pays industrialisés des hypovitaminoses, les apports sont inférieur aux besoins réels et cela se traduit par une fatigue générale, une perte d’appétit, des insomnies, une moindre résistance aux infections. Les vitamines troubles sont provoquer par des carences vitaminique A .les besoins oculaires pouvant provoquer la cécité, sècheresse de la peau, des qu’amassions perte de cheveux. L’absence de la vitamine D empêche la fixation du calcium sur les os et provoque le rachitisme. Un surdosage peut être néfaste et entrainer une hyper calcification et de retard de croissance. La carence provoque le scorbut. Elle peut se rencontre chez les enfants nourris au lait artificiel s’il n’y a pas d’introduction de jus d’agrumes. On observe alors : les douleurs osseuses, fragilité capillaire, moindre résistance aux infections (Vitamine B1) le béribéri est une maladie grave qui atteint les nerfs et qui affectai principalement les populations qui consommaient beaucoup de riz décortiqué.

La carence en fer est provoquée par l’anémie fréquente chez les nourrissons. L’enfant nourri exclusivement de lait doit puiser dans ses réserves de fer pour fabriquer l’hémoglobine nécessaire au vêlement de ses globules rouge. Cette anémie entraine une pâleur excessive qui se détecte par la coloration des muqueuses et favorise les infections. Elle est traitée par un apport en fer. Les maladies les plus rependues dans ces pays sont : le marasme qui est une maladie de nutrition globale dont on observe un amaigrissement extrême et le Kwashiorkor qui est une maladie par carence protéique avec apport énergétique suffisant et dont on observe la présence d’œdème des membres inférieurs et du visage, une perte musculaire et dépigmentation de la peau et des cheveux.

D- PREVENTION ET RECOMMENDATIONS

Selon l’OMS et la FAO

Pour prévenir les maladies nutritionnelles, il faut avoir une alimentation équilibrée et donc, éviter de faire le grignotage entre les repas car il est important de respecter les heures des trois repas de la journée (le petit-déjeuner, le déjeuner et le diner). Dans ces repas , il faut avoir une alimentation variée et ne pas manger que du salée ou du sucré. On doit aussi manger cinq (5) fruits et légumes par jour. Le sport ou une activité physique constitue également un moyen pour réduire l’obésité et être en bonne santé. Il faut donc pratiquer un minimum de 2heurs 30minutes d’activité physique aérobie par semaine chez l’adulte en bonne santé. Cependant, une activité plus basse (15min par jour) diminue déjà significativement les risque de survenu de maladie cardio-vasculaire quel que soit l’âge et le sexe par rapport à l’absence total.

CONCLUSION

De tout ce qui précède, la nutrition est un élément majeur pour être en bonne santé, il ne faut donc pas la négliger. Une alimentation équilibrée répond aux besoins énergétiques et apporte suffisamment de nutriments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme ; alors qu’un déséquilibre énergétique peut entrainer des maladies graves comme l’obésité, le diabète … il est important de rappeler que aussi qu’un manque d’activités physiques augmente les risques de maladies sur le poids. Contrôle alors notre alimentation et notre mode de vie afin d’éviter les maladies nutritionnelles.