Mémoire sur les maladies nutritionnelles.
Par Ninoka • 17 Juin 2018 • 945 Mots (4 Pages) • 858 Vues
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Le cœur travaille moins donc on s’essouffle plus vite, le cœur devient plus rapide et la tension augmente. Cela produit une hypertension artérielle. De plus l’augmentation de fréquence cardiaque fatigue le cœur et peut aggraver une insuffisance cardiaque.
Les maladies nutritionnelles au Bénin
En 2008, près de 40% des enfants de 6 à 59 mois étaient atteints de retard de croissance, un niveau de prévalence qui reste très élevé malgré une tendance à la baisse depuis le début des années 2000. La prévalence de maigreur est de 5%. La persistance de pratiques d’alimentation des jeunes enfants inadéquates, d’une alimentation de complément peu diversifiée, ainsi qu’un accès encore limité aux soins de santé et une forte incidence de pauvreté sont parmi les principaux déterminants de la prévalence élevée de malnutrition chronique. Parallèlement, 9% des enfants de moins de 5 ans étaient en surpoids en 2006.
Près d’une femme sur dix est atteinte de déficit énergétique chronique. En milieu urbain, le surpoids et l’obésité sont répandus; cela témoigne de la transition nutritionnelle en cours dans ce milieu, transition qui résulte de modifications des habitudes de consommation alimentaire et d’activité physique.
Conséquence des maladies nutritionnelles
Suivant les maladies, les causes sont différentes. Il peut apparaitre une élévation anormale de la pression artérielle(Hypertension), des complications cardiaques (diabète de type ll ), une diminution de la masse osseuse associée à une détérioration de la qualité de l’os si l’individu manque de calcium ;Certaines maladies aboutissent à la mort.
Les contraintes de la vie quotidienne sont considérables : elles peuvent entrainer des difficultés à suivre la scolarité ou une formation, une limitation de la pratique sportive à d’autres activités nécessaires à l’équilibre personnel.
Facteurs favorables à l’évitement des maladies nutrionnelles
- Pour limiter les maladies nutritionnelles, il faut pratiquer un sport ou au moins une activité physique pour réduire l’obésité et être en bonne santé.[pic 4]
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Pour éviter ou diminuer les maladies nutritionnelles il faut pratiquer un minimum de 2h30 d’activité physique aérobie par semaine chez l’adulte en bonne santé. Cependant, une activité plus basse (15 min par jour) diminue déjà significativement le risque de survenue de maladies cardio-vasculaires quels que soient l’âge et le sexe, par rapport à l’absence totale
En prenant l’exemple d’une personne de 70 kg, en 1 heure d’activité, suivant l’effort que nous rejetons la dépense énergétique peut être plus ou moins forte (ex : balayer = 400 kJ ; footing = 2600 kJ). Mais il ne suffit pas que de rejeter cette énergie car, nous devons quand même garder cette énergie et suivant l’âge et la « situation » de la personne, elle doit avoir plus ou moins d’énergie.
- Selon les individus, nous n’avons pas tous les mêmes besoins énergétiques. Cela varie suivant l’âge et l’activité physique[pic 5]
Il suffit ainsi de trouver son équilibre apports/besoins afin de préserver un poids normal.
Mais garder son équilibre ne suffit pas ; il faut l’accompagner d’une alimentation équilibrée, en suivant le protocole suivant
[pic 6]
CONCLUSION
A cause d’un déséquilibre alimentaire et d’une sédentarité trop importante, certaines maladies peuvent survenir. Ces maladies ont des contraintes considérables (limitation de certaines activités, prise de traitements, régime…). Certaines maladies peuvent aboutir à la mort. Pour les éviter, avoir une alimentation équilibrée adaptée à ses besoins personnels ainsi qu’une activité physique régulière est nécessaires.
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