La maladie d’Alzheimer

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maladie d’alzheimer depuis plusieurs années.Mme P est arriver aà la maison d’accueil il y a maintenant cinq ans, suite à la maladie de son fils.

Mme P a travailler dès l’âge de 12 ans, elle tenait la petite boutique de quartier "lolo"par la suite elle as été marieuse de canne a sucre, pour la plantation "PICA", elle combinait les grands plantations la semaine et les petits planteurs antillais le week-end. Puis est devenue employer de maison pour une grande famille d’Avocat Guadeloupéene a cette période, elle étais rémunéré, nourrit, loger, par ce biais a pu faire des économies, et s’acheter une petite maison des année plus tard.

Cette époque lui fais repenser a ses grandes réceptions qu’elle préparaient, c’étais un plaisir pour elle de cuisiner durant de nombreuses réceptions. Gourmande, Mme P, aime particulièrement confectionner des petites douceurs en tout genres, douceurs qu’elle revendait sur les marcher certains week-end de fêtes. Elle pris pour affection également la danse de quadrille, qu’elle pratiquait tout les samedis à morne-a-l’eau, elle s’apprêtait soigneusement pour l’unique divertissement qu’elle s’accordait.

Mme P est une femme qui possède un très fort caractère, elle aime le respect, mais ne parle pas beaucoup sauf si sollicitation, elle est très discrète.

Mme P, souffre d’Alzheimer, d’arthrose du genoux droit, ainsi que de sa hanche droite, son œil gauche est atteint de cataracte, le moment du repas reste une difficulté au quotidien pour Mme P, car elle engloutie littéralement les aliments, de se fait, Mr A avait pris pour habitude de l’aidé lors de la prise du repas, cependant Mme P peu tout a fait utiliser ses mains.

Mme P à le sentiments de ne plus être utile, de part son âge avancer elle ne croit plus en son potentiel, elle n’accepte pas son vieillissement. Elle prenait plaisir à me raconter ses talents de cuisinière et de la vie difficile qu’elle as vécu. Elle aimait répondre à mes sollicitations , elle ce sentait valorisé et heureuse que je m’intéresse à elle.

Mme P, reçoit la visite de son fils et de sa belle-fille une fois par semaine, auparavant son fils la récupérait le dimanche pour passer la journée en famille, mais la maladie évoluent et ne peuvent assurer les soins a décider de cesser. Le fils de Mme P a subie une transplantation cardiaque d’ou ses visites estomper. N’as aucun échange directe avec ses pairs.

La personne âgée est une personne qui subit les effets du vieillissement ses organes sont donc fragilisés et son autonomie souvent altérée. La personne Agée à donc des besoins particuliers, spécifique,et en conséquence à souvent besoin d’être aidé.

L Aide médico-Psychologique fait en sorte que tout soit mis en oeuvre pour que les personne en situation de dépendances soient le plus possible acteurs de leurs existences, elle assure la dignité des conditions de vie de la personne dépendante.

Analyse de la situation:

Une alimentation équilibrée est importante tout au long de la vie et cela s’accentue avec l’âge, il faut souligner l’importance du maintien d’une nutrition satisfaisante. Les besoins les plus perturbés sont celui de manger et de boire et le besoin de se mouvoir.

Mme P en effet avaler tout les aliments sans mâcher, sans apprécier ce qui lui est servis, et ne pas énormément d’échange avec ses pairs, seulement si sollicitation reste seule dans sa chambre a fixer la fenêtre.

Car en effet les conséquences sont dû à la maladie qui crée une altération des facultés de raisonnement qui entraîne les troubles de l’orientation et la perte des dimensions de l’espace et du temps.

Les risques sont l’ obstruction de sa trachée, l’étouffement, le replie sur elle face aux regard des autres, l’isolement, Notre mission en tant qu’aide médico-psychologique est d’apporter des repères à ces personnes qui en ont besoin.

PRESENTATION DE MON INTERVENTION:

Mes objectifs opérationnels de l’intervention mener sont que:

La personne droit être capable de tenir et d’utiliser ses couverts,

Qu’elle soit capable d’identifier le visuel et le goût (sucré, salé) de chaque aliments de son assiette,

Qu’elle puisse s’essuyer la bouche et les mains une fois terminer.

Déroulement de l’intervention:

J’ai choisie de travailler plus particulièrement le temps clé du "Déjeuner" avec Mme P mon arriver a la maison d’accueil et a partir de mes observations j’ai détecter un malaise a ce niveau, Elle ne mâchait pratiquement pas ses aliments et engloutie avec une rapidité ses l’accueillant me la décrite comme une dame très gentille et pas compliqué, qui mange avec aide ou avec ses mains

Le repas lors est servie a midi, Dans un premier temps je prépare les plateaux et sachant que j’ai un diabétique alors pou lui je lui met toujours plus de légume que de féculents de légume et aucun sucre rajouter et pour la personne aliter ayant besoin d’aide je l’accompagne lors de prise de son repas mixé.

Je lui propose de passer a table et j’installe Mme P sur la térrasse, qu’elle sorte un peu de sa chambre et qu’elle admire les extérieurs bien fleurie de la propriété.

Elle a pris pour habitude de s’installer a cette place, et apprécie énormement, son plateau lui est servie et je la stimule un peu avant de débuter la dégustation, je lui réapprend a utiliser ses couverts, je lui demande de me citer le nom des aliments qu’elle reconnait dans sont assiette, la couleur, et le goût.

j’essaie de privilégier ma relation avec Mme P, afin d’instauré une confiance mutuelle et de lui réapprendre a prendre plaisir a déguster se qui lui est servie et surtout à apprécier les différentes saveurs qu’elle connait et qu’elle avais oublier ou perdu.

Mme n’est pas très difficile au niveau des goûts elle apprécie un peu de tout, enfin comme avec tout les résidents , je sensibilise Mme P, sur l’hydratation et l’incite souvent a boire.

Le but étant de la valoriser et qu’elle constate qu’elle peut tout a fais partager un déjeuner avec ses pairs sans observations ou remarques désobligeantes une fois qu’elle pourra avoir une tenu correcte a table.

L’objectif étant de permettre a Mme P, de partager un repas avec son fils et avec ses pairs au sains de la structure. Qu’elle ne s’isole plus pour se nourrire et que le moment du déjeuner