Les Maladies Neurologiques

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On observe ainsi divers symptômes tel que :

- Des absences :le sujet semble coupé du monde et ne réagit plus aux stimuli extérieurs ;

- - Des contractions musculaires involontaires :

les myoclonies ;

- - Des mouvements anormaux (les automatismes) :

mâchonnements, mouvements plus ou moins coordonnés des membres, rotation de la tête et des yeux ;

- Des hallucinations sensorielles :

visuelles, auditives, olfactives, gustatives ;

- - Des impressions de « déjà vu », de rêve ;

Et même des crises de contenu purement psychique ou émotionnel : brève peur, accès de rire, pensée forcée, etc.

Compte tenu des multiples formes d’expression des crises et de leur évolution, il n’y a pas une mais des épilepsies.

C/Les traitements

Les traitements de l’épilepsie ont pour but de supprimer les crises ou au moins d’en diminuer la fréquence et la gravité. Si les traitements médicamenteux parviennent à contrôler près de 70 % des épilepsies, 30 % des épilepsies résistent aux médicaments : on dit qu’elles sont pharmacorésistantes. Dans certaines épilepsies partielles, il est aussi parfois possible d’avoir recours à la chirurgie qui ne s’adresse qu’à un petit nombre de patients et requiert un bilan préopératoire en milieu spécialisé.

Bien traiter une personne souffrant d’épilepsie nécessite une connaissance parfaite des syndromes épileptiques et des différents traitements de façon à prescrire celui qui sera le plus efficace avec le moins d’effets secondaires.

III- Les troubles psychiques

A- Apparition des troubles et les facteurs :

Les troubles se manifestent de nombreuses façons et à de différent âges. C'est le plus souvent à l'adolescence qui se manifestent, entre 15et 20 ans et parfois à l'âge adulte, entre 20 et 30 ans.

Il y a des apparitions progressives (changements d'attitude, les propos bizarres, ou la perte d’intérêt pour des activités habituelles). On pense que cela vient de la crise d'adolescence, la peur des examens et la drogue.

Il y a aussi les apparitions brutales, qui sont spécifique à la schizophrénie. Ces apparitions sont des risque réels pour les personnes atteintes et pour la famille car le plus souvent cela manifeste par des tentatives de suicides, des crises, de violences ou des fugues.

Les facteurs pour tous les troubles sont: la drogue et l'alcool car ils créent des dépendances et l'argent.

B-La schizophrénie :

Il y a différent types de shizophrénie car les symptômes sont différents selon les personnes.

Cette maladie est une des maladies les plus sévères et durables, elle touche 1 % de la population. Les symptômes apparaissent à la fin de l'adolescence et au début de l'âge adulte.

La schizophrénie est un fonctionnement anormal de certains circuit neuronaux du cervaux. Dans le cas de ce trouble, différents symptômes sont apparent comme :

les troubles cognitifs qui est la difficulté d'organiser ses pensées, d'être attentif. Il y aussi les symptômes négatifs car ils ménent à l'isolement, à la difficulté de communiqueret à la perte d'énergie.

Les symptômes positifs sont appellés comme ça car ils sont productifs à cause des hallucinations.Les hallucinations sont le plus souvent auditives : la personne entend des voix qui lui suggèrent des actions, ou l’insultent. Elle est souvent terrorisée par ces voix.Les hallucinations peuvent aussi être visuelles ou tactiles. Les délires ou erreurs de jugement logique sont aussi dess causes.Les idées délirantes sont présentes dans une grande majorité des cas : la personne imaginer qu’un passant qui la regarde est là pour l’espionner, elle croit que son téléphone est sur écoute, elle pense que la télévision lui envoie des messages, ou que les autres lisent dans ses pensées, elle peut être convaincue d’avoir des pouvoirs surnaturels.

Il y aaussi le le langage incohérent et incompréhensible.La personne répète des phrases sans suite, elle peut inventer des mots.Tous ces symptômes ne sont pas permanents ou présents en même temps, et pendant l’évolution de la maladie. Ils varient selon le niveau de prise de conscience par la personne de leur présence, des thérapies (et de la continuité du traitement) et enfin en fonction de la qualité de l’accompagnement familial et social qui sont proposés.

La caractéristique de ces maladies est le déni de la maladie par le patient : le patient affirme et pense profondément qu’il n’est pas malade. Il affirme souvent que son entourage est malade mais pas lui. Il ne demande rien. Ce déni rend le traitement difficile.

C- Les troubles obsessionels complusifs (TOC)

Les troubles obsessionnels compulsifs sont des comportements répétitifs et irraisonnés mais irrépressibles qui touchent le plus souvent des sujets jeunes, voire des enfants. Des traitements et les thérapies cognitivo-comportementales permettent de soulager certains patients, sont à l’étude Les progrès en imagerie médicale et le développement de modèles animaux ont permis de mieux comprendre les mécanismes des TOC au cours des dernières années.

Les différentes obsessions sont :

- la peur de la contamination, (par la saleté, les microbes, la maladie ou les excréments/ Se laver, prendre plusieurs douches longues, nettoyer sans fin

-Peur de faire du mal aux autres à cause d’un manque d’attention, c'est la peur de causer un accident de voiture ou autre

-la préoccupation excessive avec l’organisation et la symétrie

-la crainte d’attraper une maladie grave,

-la peur d’être responsable d’une catastrophe

-la peur de jeter un objet dont on pourrait avoir besoin

La personne