La santé : « c’est la capacité à aimer et à travailler »

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Structures Psychopathologiques.

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Le fonctionnement psychique de l’individu est le résultat du processus de la construction de la personnalité et commence dès la naissance.

Différence entre organisation psychique/pathologies psychiques.

Critères qui définissent un fonctionnement psychique.

- Degrés de cohésion de la personnalité (du moi) : peut être solide, dissocier, cliver, morceler.

- Mode de relation d’objet (à l’autre) : façon dont on investie l’autre.

- Type de conflit psychique.

- Type d’angoisse.

- Type de mécanisme de défense.

Fonctionnement de la névrose

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Névrotisme : c’est l’accès au complexe d’Œdipe

- Degrés de cohésion : le Moi est bien posé.

- Relation d’objet : relation généralisée, la relation à l’autre prend en compte la différenciation des sexes.

- Conflit psychique : désir/interdit (sa/surmoi) qui va créer une angoisse

- Angoisse : de castration (désir de pouvoir)

- Défense :

- refoulement : opération par lequel le sujet cherche a repousser ou a maintenir dans l’inconscient des représentations inacceptables. La représentation refoulée dans l’inconscient va subir des déformations et faire retour sous une forme déguisée pour trouver une satisfaction indirect.

- Formation réactionnelle : c’est une attitude psychologique de sens opposé a un désir refoulé et constitué en réaction contre celui-ci.

- Le déplacement : le fait qu’une intensité d’une représentation est susceptible de se détacher d’elle pour passé à d’autre représentation.

Fonctionnement pathologique de la névrose.

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La névrose hystérique : Le refoulement est trop utilisé et l’énergie psychique libérée va âtre convertie dans le corps. Le symptôme hystérique à un sens (atteinte fonctionnelle et non d’organe, exp : cécité, dysphagie, vomissement, dyspnée…)

La névrose phobique : c’est une peur irrationnelle suscité par un acte, un objet, un animal, une personne, une situation désigné comme objet phobogène. L’individu va créer des conduites d’évitement ou le recours à des objets contraphobique.

La névrose obsessionnelle : le mécanisme de défense sera une formation réactionnelle .L’individu va avoir recours

- des obsessions : idée ou sentiment qui s’impose a la conscience et que le sujet ressent comme contraignant

- des compulsions : actes que le sujet se sent contraint de faire malgré le caractère absurde

- la psychasthénie : l’épuisement psychique

Fonctionnement psychotique.

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Corresponds a un trouble du comportement, ou de la pensée, sans être forcément décompensé (pathologique).

- Degré de cohésion : Le Je est fragile et vulnérable. Le complexe d’Oedipe n’est pas atteins et donc l’identité est instable, fragile.

Lutte pour maintenir une identité coute que coute.

- Relation d’objet : relation fusionnelle. L’Autre est perçu comme un prolongement du moi. Donne lieu à des angoisses de morcèlement, de dissociation, d’effondrement.

- Conflit psychique : Le conflit va être clivé, coupé. Entre moi/réalité extérieur.

- Angoisse : angoisse de morcèlement, de dissociation : crainte concernant l’unité de la personnalité.

- Défense : mécanismes anti-conflictuel.

- Clivage du moi : c’est la coexistence au sein du moi de deux attitudes psychique à l’endroit de la réalité extérieur qui vient contrarier une exigence pulsionnelle, un désir. L’une tient compte de la réalité, l’autre déni la réalité en cause et met à sa place une production du désir. Ces deux attitudes persistent cote à cote sans s’influencer réciproquement et ne provoque donc plus de conflit.

- Le déni : c’est un mode défense consistant en un refus de reconnaitre la réalité d’une perception traumatisante. Il n’est jamais total contrairement au clivage.

- La projection : c’est l’opération par laquelle le sujet expulse de soi et localise dans l’autre (personne ou chose) des qualités, des sentiments, des désirs qu’il méconnait ou refuse en lui.

Fonctionnement pathologique psychotique.

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Vocabulaire :

- Symptôme : élément pathologique observable d’une pathologie.

- Syndrome : ensemble de symptômes

- Maladie : ensemble de symptômes et/ou syndrome plus une étiologie.

- Le délire : c’est un symptôme. C’est une idée en évidente contradiction avec la réalité, sans justification religieuse ou culturel.

Définit par 4 critères :

- Le mécanisme : l’interprétation, l’imagination, l’hallucination,

- Les thèmes : la persécution, la mégalomanie, le messianisme (se prendre pour dieu ou jésus), le délire d’influence, l’érotomanie (on me désire, on m’aime), négation d’organe, délire hypocondriaque…

- Degrés de systématisation : si il est plus ou moins stable