Quel est le problème principale de santé et de sécurité au travail (SST) dans cette organisation?

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Question3 : Nommez et expliquez deux solutions envisageables pour résoudre ce problème de SST dans l’entreprise ? (4 points)

Dans un premier temps , nous traiterons des troubles musculosquelettique. En ce basant sur les divers rapport mentionné dans le cas La voie Lactée, le comité de santé sécurité pourrait cibler les postes pour lesquels il y a de plus d’accident lié au TMS. Nous suggérons d’analyser les méthodes de travail pour chaque poste . Cette analyse peut être effectué par un expert . Par exemple, un ergonome qui devra évaluer chaque poste et analyser les mouvements qui causes les problèmes de TMS. Par le fait même , il suggérera des solutions alternatives qui permettrons de réduire les risques de TMS. Par exemple, on pourrait y aller par l’automatisation de certaines tâches à l’aide d’équipement spécialiser ou encore l’utilisation de table à bille pour facilité certains mouvements. D'autre part, l’entreprise pourrait décider d’effectuer elle-même l’exercice en utilisant la méthode QEC suggérer par la CSST. Selon le guide d’évaluation des risques offert gratuitement par la CSST, voici les cinq étapes c’est-à-dire :

- Le choix du poste et de la tâche à évaluer

- L’évaluation à partir du question

- La compilation des résultats

- L’interprétation des résultats et les mesures qui en découlent

- L’évaluation après que des correctifs ont été apportés

Par la suite l’entreprise devra mettre en application des procédures et s’assurer que les employés se conforment aux nouveaux règlements. Ils devront donc mettre en application des tourner d’inspections fréquentes afin de s’assurer que tout est conforme au nouvelle méthode de travail.

Sur un autre plan, l’entreprise est au prises avec un taux de maladie mental croissant depuis les cinq dernière années. Selon les analyses qu’a fait l’entreprise , on constate que 20 % d’entre elles sont liées à un problème de relation de travail entre eux et leur superviseur ou au manque de de souplesse. On mentionne aussi le manque de formation des supérieurs , car ils ont gravis les échelons de l’organisation mais ne possède pas de formation en ressource humaine. Donc, nous proposons dans un premier temps d’investir dans la formation des superviseurs avec des cours de bases en supervision du personnel et en ressources humaines afin de leur donnée de l’expertise dans ce domaine. Dans un autre autre d’idée, nous suggérons à l’entreprise d’effectuer un sondage anonyme à l’interne sur les points à améliorer au sein de l’organisation. Par la suite , ils pourront analyser les résultats et prendre les mesures pour améliorer les conditions de travail . Ils devront effectuer des changements et effectuer des mesures de suivie afin d’être certains qu’elles sont mises en applications et que les employés sont satisfaits de changements.

Par ailleurs , la direction de l’entreprise devra émettre des directives claires aux comités de santé sécurité ainsi qu’au département de ressource humaines afin de délimité clairement leurs champs de compétences et d’éviter les tentions inutiles au seins de l’organisation. Le mandat des deux départements doivent être définis et ils devront si c’est nécessaire travailler ensemble pour le bien de l’organisation et des travailleurs car c’est la mission principale de leur départements.

Finalement, la clé de toutes les solutions réside dans le suivi des nouvelles procédure mises en oeuvres pour améliorer les méthodes ou le climats de travail. Ce qui veut dire que quelqu’un dans l’entreprise devra effectuer un suivi serré de toutes les nouvelles procédures en effectuant des suivies et des inspections des méthodes de travail . Le tout dans le but de s’assure le respect de nouvelle procédure, mais aussi afin s’assurer l’amélioration de l’organisation sous toutes ces formes que ce soit du climat de travail ou au niveau des méthodes de travail.

Quel indicateur de performance serait pertinent pour évaluer l’une de vos solutions ? Expliquez.? (2 points)

Dans le cas des TMS , il serait pertinents d’effectuer quotidiennement des inspections sur les méthodes de travail. L’inspection pourrait être formuler sous forme de grilles par poste de travail. Celle-ci énumérerait les nouvelles procédures de travail et le superviseur ou un membre du comité de SST évaluerait aléatoirement un poste par jour. Ce qui permettrait à la direction de s’assurer que les employés respectent les nouvelles procédures de travail en cours. Par le fait même , il pourrait y avoir des mesures disciplinaires pour les personnes qui ne suivent pas les méthodes de travail de l’organisation afin qu’on s’assure que les employés comprennent la gravité du non respect de la procédure.

Tel que mentionné ultérieurement, le taux d’absentéisme relié aux problèmes de santé mentale est à la hausse depuis cinq ans. Une des solutions visant à corriger ce problème est de demander aux supérieurs de suivre une formation en ressources humaines afin d’être mieux outillé pour superviser et gérer les conflits au sein des équipes de travail. De plus, nous proposons d’effectuer des suivi serrés des nouvelles procédures mise en place afin d’améliorer le climat de travail ainsi que les méthodes de travail. Dans un premier temps, nous proposons d’évaluer selon un indicateur de gravité, soit le taux de gravité (nombre de jours perdus/nombre d’heures travaillées) afin de voir si le taux d’absentéisme diminue réellement ainsi que la gravité des accidents. De plus, il serait pertinent de faire appel à un indicateur proactifs afin de vraiment évaluer l’efficacité des activités de prévention, soit un indicateur de mesure de résultat. Ce dernier démontre dans quelle mesure les objectifs en matière de SST ont été réalisés et ce, en calculant l’écart des réalisations par rapport aux objectifs issus des plans d’actions. Dans notre cas, l’objectif pourrait être de diminuer le taux de gravité, le taux d’absentéisme ainsi que le taux de fréquence.

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