Exposé sur la folie et ses traitements

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En 1838 une loi est mise en place afin de créer d’avantages d’asiles d’aliénés, elle fixe les modalités d’internement visant à protéger la société contre ces fous.

II) La folie après XXème siècle

Au début du XXème siècle, fait l’apparition de ce qu’on appelle la révolution psychanalytique avec Sigmund Freud, qui aura comme optique de comprendre la maladie, avant de la soigner.

Il réussira pour la première fois, à expliquer le comportement humain psychologiquement, dans une théorie dut à l’observation et pas que sur l’hypothèse.

Grâce a Freud la psychanalyse commence à faire ses premiers pas, pour lui c’est l’une des meilleures façons de comprendre l’inconscient de l’homme, avec l’analyse des rêves qu’il a beaucoup développé, il le catégorisait de “voie royale” qui mène a l’inconscient.Grâce a Freud on redéfinira la folie par le fait que c’est un comportement dicté par les forces refoulé de l’inconscient.

Pendant que Freud développait sa théorie d’autre personnalité telle que Alexis Carter, publiais des livres où ils expliquent qu’il est préférable d’annihiler les personnes qui ne sont différent d’un individu “sain”, pour ne plus empêcher le développement des “normaux”.

Ce type de thèse sur l’inégalité biologique concordait avec des thèses racistes telles que le nazisme. Pendant la seconde Guerre Mondiale, Hitler décréta l’euthanasie pour les personnes catégorisé “d’inutile”, cette opération s'appela l’opération T4, qui permit de tuer plus de 100 000 personnes.

Durant cette période en France, les hôpitaux psychiatriques étaient délaissés, strictement réduits aux rations officielles, malgré l’interpellation de certains organismes, le gouvernement de Vichy faisait la sourde oreille et mettait clairement en place les théories d’Alexis Carter.

En 1953, révolution dans la psychiatrie, le premier neuroleptique vu créer, le “Largactil”, beaucoup pensait que c’était le remède miracle, alors que ce n’est qu’une camisole chimique.

De lors dans les années 60, une contestation sous le nom d’antipsychiatrie comme à voir le jour, qui qualifie les centres psychiatriques d’asilaire, et de banal instrument de contrôle social. Ce mouvement finira dans les années 80 rattrapé par la réalité des maladies mentales.

Aujourd’hui la psychothérapie et la chimiothérapie sont deux aspects complémentaires et indissociables du traitement en psychiatrie, auquel s’ajoute la psychiatrie de secteur prenant en compte l’environnement du patient.

III) L’évolution de la psychologie face à la médecine

Tout au long de l’histoire, la psychologie devra être expliquée sans faire de blasphème, elle sera de plus en plus humaniste.

La psychologie n’a pas sa place dans le traitement de la folie au Moyen Âge car ce phénomène était considéré comme un acte divin, seuls les prêtres et les Saints étaient aptes à guérir la folie. Néanmoins certains philosophes vont alors tenter de trouver une explication sans pour autant contredire l’église. Ils s’inspireront alors des penseurs Grecs. St Augustin développe une théorie selon laquelle la vérité de l’homme est dans son âme et non pas dans les connaissances. St Thomas supporte le fait qu’il y ait une interaction entre le corps et l’âme. Selon lui une âme qui n’est pas en mesure de maîtriser la passion sombre dans la déraison, ce qui a ainsi promu l’amour au rang des maladies mentales.

À la Renaissance les superstitions sont encore bien ancrées dans le traitement de la maladie, la médecine croyant encore au surnaturel ils font alors tout pour nettoyer le corps des patients en réalisant des saignées des purges des lavements… Chaque maladie possède un traitement bien précis.

De son côté le mouvement humaniste fait sa montée le fou n’est pas considéré comme un animal mais comme un patient atteints d’une maladie susceptible d’être guérie. Les philosophes s’orientent d’avantage vers une science du corps humain, la spiritualité n’est plus la cause de maladies mentales.

Depuis le début les hommes cherchent la solution pour soigner les individus atteint de maladie mentale. Après avoir essayé des solutions qui ressemblent plus à de la torture, il faudra attendre le XXème siècle pour assister à une grande avancée sur ce type de maladie, grâce à Freud on ne cherche plus à trouver théoriquement la cause, on essaye de comprendre le patient en allant dans son inconscient grâce à la psychanalyse.

Mais malgré cette “révolution” le remède miracle n’existe pas, la seule chose qui est faites c’est de prescrire une camisole chimique à ses personnes ou de leur apprendre à gérer leurs crises.

Finalement, nous avons vu qu’au fil du temps, que les mentalités changeaient et que la médecine progressait, mais nous ne sommes toujours pas capable de comprendre ses troubles mentaux, arriverons-nous un jour à dépasser les limites de l’inconscient, afin de réinsérer ces personnes restaient exclu trop longtemps.