Préface Anthologie Alcools, Apollinaire. 1913.
Par Christopher • 25 Mai 2018 • 1 049 Mots (5 Pages) • 1 352 Vues
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ce poème, il n’est pas direct. Le thème premier est l’ivresse, à travers celui-là se cache un voyage. Ce poème est une invitation à la
jouissance des aventures. Je l’ai personnellement trouvé envoutant. Pour ne pas finir d’envouter, l’œuvre que j’ai choisi avec ce poème est Nuit d’étoile sur le Rhône du célèbre Vincent van Gogh. Cette œuvre est évasive. Je l’ai choisie pour le moment d’absence qu’elle procure, en posant les yeux dessus, après la lecture du poème. Ce poème est à cette place dans mon anthologie parce qu’il parle d’un moment avec une femme. Une femme étant le sujet même du poème suivant. Cette femme s’appelait Annie.
Cinquièmement je parlerais du poème nommé Annie. Ce poème regroupe deux thèmes de rêves. Celui de l’escapade dans un lieu exotique, tel que le Texas dans ce poème. Et celui de l’idole de la femme, il semble surréaliste. J’ai choisi ce poème parce que le thème du voyage, à travers cette femme, Annie Playden, était très bien représenté. Elle est partie pour l’Amérique, vivre son rêve. Elle et Apollinaire ont eu une liaison quand il était en Allemagne. Comme expliqué dans l’œuvre précédente. Cette femme était une partie du voyage du grand poète. L’illustration que j’ai choisie pour ce poème est une photo de Annie Playden datant de 1901. Cette femme n’a pas réellement marqué l’histoire donc très peu d’œuvres ont été faites à son sujet. J’ai choisi cette œuvre simple pour que le visage de la femme soit vu par le lecteur d’une autre manière. En effet, elle a vécu l’aventure. Je place cette œuvre en avant dernière dans mon anthologie pour qu’elle fasse office d’envoie sur la dernière, une fois encore à propos d’une femme.
Finalement je parlerais du poème nommé Marie. Ce poème est situé au milieu du recueil, il parle d’amour et évoque le temps qui passe. Pourtant, après ma première lecture, ces thèmes ne m’avaient pas frappé. Je ressortais de ce poème dans un sentiment de mystère. Je me posais continuellement une question : « Ou allait je donc finir ma vie ? ». De toute part, le poète semble parler d’une femme vieillissante. J’ai fait de ce poème une réflexion personnelle, même si le thème premier n’était pas celui de mon anthologie. Le vers : « Sais-je ou s’en iront tes cheveux ? », n’est-il pas un appel à l’évasion ? Ainsi ce poème finalise mon anthologie. J’ai aussi choisi ce poème car c’est l’un des seuls, avec le poème Annie, qui parle de femmes et d’évasions. L’illustration que j’ai choisie pour cette œuvre est La femme au turban de Marie Laurencin, peinte en 1941. Ce tableau répond au poème. Apollinaire s’adresse à une femme. La femme en question dans le poème est Marie Laurencin. Lui et Marie Laurencin était en couple. J’ai donc choisi d’associer le poème de l’homme et la peinture de la femme. Enfin, j’ai décidé de placer ce poème en dernière place, car il a le rôle d’ouverture, d’envoie, dans mon anthologie.
Pour finir, j’espère vous donnez le goût de l’aventure et du voyage à travers ces poèmes. J’espère également que la suite vous plaira.
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