Les soleils couchants de Victor Hugo.
Par Andrea • 5 Juin 2018 • 779 Mots (4 Pages) • 647 Vues
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3ème paragraphe
De plus Victor Hugo utilise le temps pour décrire la nature comme si elle était immortelle : « le front de montagne, Ridé et non vieillis » ou encore « et les bois toujours verts, S’iront rajeunissant », tous les hommes meurent un jour mais la nature reste ne meurent jamais qu’elle vieilli, rajeunit mais qu’elle ne disparaitra jamais, qu’elle peut mourir sans vraiment partir.
4ème paragraphe
Enfin Victor Hugo utilise dans le dernier vers le temps pour nous amener au fait qu’il va bientôt mourir en disant « Je m’en irais bientôt », « sous chaque jour courbant plus bas ma tête », « Je passe et refroidi ».
Conclusion :
L’omniprésence du temps et de la nature durant tout le poème a été mis en place pour nous amener au fait qu’il va mourir et ne faire plus qu’un avec la nature.
Les hommes sont soumis au temps
III-Un douloureux constat : la condition humaine
Introduction : 1er paragraphe
Victor Hugo dans ce poème décrit le douloureux constat de la condition humaine
2ème paragraphe
Tout d’abord Victor Hugo décrit la nature comme si elle était immortelle : « le front de montagne, Ridé et non vieillis » ou encore « et les bois toujours verts, S’iront rajeunissant », la nature reste ne meurent jamais elle vieilli, rajeunit mais elle ne disparait jamais, elle peut mourir sans vraiment partir alors que tous les hommes meurent un jour et eux disparaissent.
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3ème paragraphe
De plus Victor Hugo dans le dernier vers parle du temps pour nous amener au fait qu’il va bientôt mourir en disant « Je m’en irais bientôt », « sous chaque jour courbant plus bas ma tête », « Je passe et refroidi » pour nous montrer que les hommes ne peuvent pas lutter contre le temps
Conclusion :
Victor Hugo montre que la nature est immortelle et que les hommes ne peuvent lutter contre le temps pour montrer que tour les hommes disparaissent un jour.
Tout ce qui est écrit n’est que mon avis et ce que je comprends du poème.
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