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Les objets, une voie vers le bonheur?

Par   •  16 Décembre 2017  •  1 103 Mots (5 Pages)  •  800 Vues

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animales les plus insignifiantes mettent des milliers, parfois des millions d’années à disparaître, les produit manufacturés sont rayés de la surface du globe en quelque jours" l’auteur compare des objets au animaux donc à la vie, il compare donc l’incomparable.

Dans une première partie, nous avons pue parler d’une aliénation positive face aux objet maintenant dans une seconde et dernière partie nous allons parler d’une aliénation négative face aux objets.

L’objet peut aussi être considéré comme une aliénation négative et représenter du dégoût tel que dans le roman de Jean-Paul Sartre dans "La nausée" ou l’auteur éprouve du dégoût face à la société "Maintenant je vois ; je me rappelle mieux ce que j’ai senti, l’autre jour, au bord de la mer, quand je tenais ce galet. C’était une espèce d’écœurement douceâtre. Que c’était donc désagréable!". L’auteur ressent du dégoût de la société du XXème siècle, avant il ce sentais libre ce qui n’est plus le cas maintenant à cause des objet qui commence à prendre de plus en plus d’ampleur dans ce monde, c’est donc une réflexion sur la vie (Homme/Objets). Dans le roman d’Octave Mirbeau dans "Le Journal d’une femme de chambre" Monsieur Rabour qui s’adonne au fétichisme de ses bottines fait peur aux personnes qui l’entoure "J’était sans force... La stupéfaction me paralysait... Je ne savais plus si je vivais réellement ou si je rêvait... Des yeux de Monsieur, je ne voyais que deux petits globes barbouillée d’une sorte de bave savonneuse" Sont aliénation crée donc la peur chez les autres.

Apres que l’objet puisse émettre le dégout il peut aussi crée la souffrance comme c’est le cas dans le roman de Pierre Fédida dans "l’Absence" parut en 1978 où la jeune Myriam éprouve de la souffrance pour les objets "Elle ce met aussitôt à hurler", " J’ai aussitôt pensé que c’était à cause des chaussures de mon ami : elle n’avaient pas de lacets et les œillets étaient vides !" dans ce cas les objets crée la souffrance chez le personnage, comme pour Michel Houellebecq dans "La Carte et le Territoire" où l’auteur souffre quand il voit que ces objets fétiches ont été retirer de la vente "Vous êtes jeune... Vous êtes terriblement jeune... Rolex fera comme tous les autres. Il se saisit de trois rondelles de chorizo, les disposa sur un bout de pain, engloutit l’ensemble, puis se resservit un verre de vin". Cela est donc bien la preuve que les objets peuvent aussi faire souffrir les personnes qui en sont entouré

Apres la souffrance, les objet peuvent aussi faire peur, comme cela est explicité dans le roman de Pierre Fédida dans "l’absence" où Myriam le personnage principale à peur des objets "Elle a peur des objets, me dit d’entrée la mère de Myriam", les objet peuvent donc faire peur à l’Homme, Pour Jean-Paul Sarte dans "La Nausée" L’auteur à la fin du texte quand il ce rend compte de son alliénation face aux objets, il prend peur "Que c’était donc désagréable ! Et cela venais du galet, j’en suis sûr, cela passait du galet dans mes mains. Oui, cela, c’est bien : une sorte de nausée dans les main.

Pour conclure, nous pouvons dire que les objets culte ne sont n’y mauvais, n’y bon, il facilite la vie de l’Homme au quotidien, évolue ou de nouveau ce créer.

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