Le devoir et le bonheur
Par Andrea • 13 Septembre 2017 • 1 198 Mots (5 Pages) • 864 Vues
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Les hommes courent après quelque chose qu’ils n’arrivent pas eux-même à définir
La quête du bonheur semble irrationel, le bonheur ressemble à une tache aveugle, infinit, complétement irrationel. La recherche du bonheur révèle une contradiction de l’homme, car seul un être conscient rationnel et libre cherche le bonehur , mais dès qu’il le recherhce il peut devenir iraissonable. Si on recherche trop le bonheur on peut être trop conscient du malheur. Le problème de la quête du bonheur est qu’elle peut me détruire au lieu de m’emmener au bonheur. C’est pourquoi que le devoir s’oppose au bonheu, pour Kant il faut mieux faire son devoir
Mais si on choisit de ne pas faire le bonheur pour la morale cela peut être intéresssé
Le bonheur est un pari, nous n’avons aucune garantie car la définission même du bonheur est insaissisable
C) Si le devoir est un obstacle au bonheur, c’est parce que l’on se fait une fausse idée du bonheur
Le plaisir est un état de satisfaction partielle , le bonheur est un état de satifaction globale , il s’inscrit dans la durée
Biensure le plaisir est un ingrédient du bonheur, il se complète, il ne s’oppose pas de facon radicale mais le bonheur ne peux pas se réduire à une somme, accumulation de petits plaisirs
HEdonisme : doctrine selon laquelle le plaisir le but de la vie
Hédonisme passioné : idée
Limites : obtacle : les autres, autrui et les règles de la justice
Hédonisme raisonné : distinguer les désir, faire un tri
La joie est une manifestation, on parle d’un comportement joyeux, elle se paetage, se transmet, elle est peut être plus extérieure que
Béatitude : forme d’extase mystique
c) notion d’obstacle
On développé la thèse de la psychanalyse, dans le sens ou la morale réprime nos pulsions. Freud distingue le principe de plaisir et de réalité : tous hommes visent le plaisir, la jouissance et fuit la souffrance
Pour Freud l’obstacle n’est la morale en elle même c’est les névroses, le refoulé
Le bonheur est l’objectif de tous les hommes , la pratique d’une morale permet d’y accéder
Dans ce texte Aristote définit le souverain bien comme la fin de toutes nos actions, c’est à dire que tout ce que l’on fait tend vers le bonheur
LA liberté est la capacité d’agir en conformité avec sois-même sans que rien ni quiconque y interfère
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