Les deux coqs, Jean de la Fontaine

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De part les personnages, un récit vivant et une forme de poésie, la Fontaine a su utilisé et mettre en valeurs tous ses éléments avant tout pour nous divertir, nous lecteur, pour que nous prenions du plaisir mais entre autre pour nous instruire.

Jean de la Fontaine a voulu reprendre un sujet comme celle de la guerre de Troie tout en la parodiant pour cela il utilise plusieurs style tel que le registre héroï-comique se qui va totalement changer le récit et le rendre plus plaisant.

Le fabuliste veut donner a des personnages, tel que de simple volatile, un rang de héros et une allure noble. Depuis le premiers vers la Fontaine renvoi a la guerre de Troie avec le combat des deux coqs. Les coqs s'affrontent sans merci pour une poule « Longtemps entre nos coqs le combat se maintint » v.6 comme l'on fait Mélénas et Pâris pour Hélène. Cette adaptation de l'histoire mythologique est certainement parodique. Il prend part aussi a l'ironie d'un style épique pour tourner en ridicule les deux coqs « guerre » v.2, « querelle envenimée » v.4, « victoire » v.20, «s'armait » v.18 et « combat » v.6 tout c'est mots font référence au champ lexical du combat de la guerre. Nous pouvons remarquer l'utilisation d'un vocabulaire noble pour parlé des animaux de la basse cour « La gent qui porte crête » au vers 9. Ainsi la Fontaine s'amuse a mettre en scène ces animaux qui se donnent des aires de héros mais qui ne se battent que par leur pulsion élémentaire de bête pour une femelle.

Notre fabuliste s’appuie sur un évènement mythologique qui est la guerre de Troie pour le comparé avec le combat des coqs. En effet il compare la poule a Hélène et les deux coqs a Mélénas et Pâris, « Deux coqs vivaient en paix: une poule survint » v.1, qui se sont combattu pour la belle Hélène. Il s'inspire donc de l’Iliade d’Homère. D’après la légende, la déesse Athéna a soutenue les Grecs et Apollon le dieu grec du chant quant a lui il a soutenue les Troyens la Fontaine a voulue nous rappelé le combat des dieux en évoquant au « sang des Dieux » v.5. Il a aussi voulu nous montré l'importance des c'est combat « on vit le Xanthe teint » se qui signifie que même du ciel les dieux on vu le sang coulé. La comparaison avec la mythologie permet de donner plus de sens a la morale car la mythologie symbolise des comportement humains.

Comme nous le montre si bien la fable, Jean de la Fontaine a insister sur le but que celle-ci est faite pour nous divertir nous plaire mais surtout pour nous instruire. Cette morale, qui conclut le récit du vers 28 au vers 32 « La fortune se plaît à faire de ces coups;/Tout vainqueur insolent à sa perte travaille./Défions-nous du sort, et prenons garde à nous/Après le gain d'une bataille. », signifient donc que même si on vient de gagner un bataille comme ci-dessous il ne faut pas crier sa victoire sur tout les toit car la situation peut vite se retourner et on peut retombé tout en bat. Ici la Fontaine nous fait comprendre que la « fortune » v.29 que le coq gagne va le renvoyer au « fatal retour » v.24 se qui montre qu'il faut prendre « garde à nous » v.31. Le coq est « insolent » v.30, cette élément va conduire « à sa perte travaille » v.31 donc dans cette fable la mort du coq car « Tout cet orgueil périt sous l'ongle du vautour » v.23. Il dénonce et averti aussi contre la fierté a crier victoire trop rapidement.

Ainsi la fable apparait comme une parodie qui divertie et nous fait réfléchir grâce a la morale. Jean de la Fontaine arrive donc grâce a des procédé a nous faire passer une tel morale même si il utilise un évènement mythologique qui a été tragique.

Pour finir, nous pouvons conclure que Jean de la Fontaine a organisé la fable comme un vrai récit vivant est épique. D'une part, par la personnification de ces animaux de basse-cour mais aussi par un texte ironique sur le registre de l'héroï-comique qui introduit la parodie de la guerre de Troie. Cette parodie nous amène directement a la morale de la fable qui est : l'insolence et le manque de prudence nous conduira directement et toujours a notre perte voir notre morts. Les comportement des deux coqs est tous simplement naturelle car c'est leur instinct, Jean de la Fontaine a très bien pris cette exemple car on peut l'utilisé aussi pour l'homme puisque les animaux sont personnifiés. C'est grâce a l'utilisation de la parodie et des animaux que la fable devint tout de suite divertissantes et plaisante pour le lecteur. De même nous pouvons nous demander si Jean de la Fontaine n'aurait pas voulut critiquer Louis XIV et toute l'image de la cour de Versailles avec l'utilisation de la basse-cour. Ou ne veut-il pas combattre Louis XIV pour toute ces guerre que la France a fait sous son règne ?

LANCELLOTTI Fabian 2de1