« Fable ou histoire » de Victor Hugo

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qui contiennent du dialogue plus ou moins présent.

Chacun des textes comportent un personnage principale qui est dans tous les cas cruel et arrogant.

Dans « Fable ou Histoire » c’est le singe qui est le personnage principal, en mettant son habit de tigre il est cruel et dévaste tout sur son passage. Par contre, une fois l’habit retiré, il n’est qu’un simple singe.

Dans « Le sultan », c’est le sultan qui est le personnage principale. Il demande a son bourreau de tuer tout le monde y compris lui même s’il se rendort.

Dans « Napoléon et la puce », c’est Napoléon qui est cruel envers le peuple, il se pense tout d’abord supérieur car il l’acclame puis après s’être vexer suite a la piqûre de puce il déclare la guerre en se croyant toujours plus fort.

Les textes comportent également tous des personnages secondaire qui font prendre conscience. Dans « Fable ou histoire » c’est le belluaire qui en retirant l’habit de tigre du singe, arrête le singe dans son ascension. Il l’arrête sans violence, simplement en disant « Tu n’es qu’un singe ». Dans « Le sultan » c’est le bourreau le personnage secondaire, il obéit aux ordres du tyran représenté par le sultan.

Dans « Napoléon et la puce », la puce est le personnage secondaire, beaucoup plus petite que Napoléon elle réussit à le vexer.

Ces fables n’ont pas de morale explicite mais le sens du récit est implicite.

Les trois récits ont une dimension critique des hommes politiques comme Napoléon III, un tyran et Napoléon.

A travers ces récits, les fabulistes montre la tyrannie des puissants. Dans « Fable ou histoire » Victor Hugo dénonce le coup d’état Napoléon III de 1851. Il est ridiculiser en singe jouant les tigres.

Et, tel le belluaire de sa fable, il révèle l’imposture et souligne le ridicule du personnage et sa prise de pouvoir abusive.

Dans « Le sultan » Jacques Prévert dénonce la cruauté d’un tyran mais il montre également que les meurtres qu’il commet lui reste sur la conscience et il ne peut donc plus dormir. On voit qu’il est vulnérable, fragilisé par tous les morts.

Dans « Napoléon et la puce », Anouilh à voulu dénoncer l’arrogance de Napoléon en mettant en scène le fait qu’une puce le pique au derrière cela le ridiculise et l’humilie donc pour se venger il déclare la guerre, il utilise encore une fois la violence pour se venger.

Pour conclure, nous pouvons dire que ces trois textes remplissent leur rôle d’apologue car un apologue est un récit qui a pour fonction d’illustrer une leçon de morale qui peut être formulée explicitement. Ces trois textes étant des dénonciations, ils remplissent leur rôle d’apologue.