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Exposé sur le "Journal d'Anne Frank"

Par   •  24 Avril 2018  •  2 128 Mots (9 Pages)  •  928 Vues

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si fort pour son âge et formuler des phrases pareilles (ex : La guerre p119 Lundi 19 juillet 1943). Je pense que Otto a dût quand même réécrire et ajouter quelques passages pour que le lecteur comprenne mieux l’histoire, écrit par sa fille dans des moment important de sa vie. Pour aussi peut-être rectifier des passages juger trop intime.

Et pour finir je trouve que l’Annexe (tous ses habitants), gardaient toujours espoir, d’un jour sortir de leur situation, je pense que c’est ça qui avait fait leur force. Pour moi, je les trouve d’une discrétion incontournable, ils font vraiment très attention à tout, quand ils vont aux toilettes, quand ils marchent et toutes les choses du quotidien auxquelles on n’y pense pas forcément.

Mes conclusions et analyses :

Mes conclusions :

• Ce livre est un témoignage et un symbole que l’humanité ne pourra pas niée : la violence de la Second Guerre mondial, sur les civils, les militaires et surtout sur les juifs, sur une explication brève des camps de la mort.

C’est un livre émouvant, il raconte la peur au quotidien de ses personnes, et surtout l’évolution de la vie d’une jeune fille avant et pendant sa clandestinité (la guerre). Mais il a montrai aussi la volonté de vivre des humains, de se battre pour ses croyances et ses idéologies. Et que même dans des moments difficiles on doit garder l’espoir qu’un jour tout cela sera fini.

Ce livre est une vraie autobiographie car il y a l’équation suivante :

PERSONNAGE (Anne FRANK) = NARRATEUR (Anne FRANK) = AUTEUR (Anne FRANK)

• Parce que le livre est écrit à la première personne du singulier « je », il y a l’ emplois de présent d’énonciation et du passé composé.

• Il y a plusieurs enjeux dans ce livre :

Elle ressent un besoin de se vider, de ses émotions qui sont trop forte à l’égard de la guerre, de sa vie qui a basculé le jour de la convocation de Margot par les S.S. Ça permet à Anne de se sentir libre, d’avoir le pouvoir de la libre expression sachant que toutes ses libertés ont été supprimé.

De se confier à une amie tant attendue qui s’appelle Kitty. A ce moment elle n’a pas forcément envie de publier son journal même elle n’y songe pas. C’est que quand elle attend à la radio qu’il faut garder tous les écrit de cette guerre pour que le monde n’oublie ce mauvais pas de l’homme, c’est à ce moment qu’elle commence une réécriture de son propre journal en enlevant des passages un peu trop intimes, environ un an plus tard.

C’est aussi un livre à viser historique et de témoignage. Comme je l’ai dit avant pour que le monde n’oublie jamais cet atrocité. Pour que les générations ne comètes pas les mêmes erreurs que dans le passé, pour montrer jusqu’où l’Homme est prêt pour être le plus puissant du monde.

• Les passages montrant la présence de l’auteur écrivant sont :

Dans ce livre il y a toujours la présence de l’auteur écrivant car c’est un journal rédigé sous forme de lettre donc Anne dit tout. Que ce soit sur la relation entre elle et les autres, ses sentiments amoureux et ses ressentis sur ce qui se passe autour d’elle

« Jusqu’à maintenant, j’ai trouvé en toi un grand soutien… Oh comme je suis contente de t’avoir emporté ! » Passage du 28 septembre 1942(page 17)

« Tu vas rire, mais ce n’est pas si simple de vivre dans une cachette… nous surveiller doublement. » Passage du jeudi 19 novembre 1942 (page 79)

« Je vais pouvoir, j’espère, te confier toutes sortes de choses, comme je n’ai encore pu le faire à personne, et j’espère que tu me seras d’un grand soutient. » Passage du 12 juin 1942 (page 17)

• Les passages montrant sa volonté de dire la vérité sont :

« Mais dorénavant, je vais essayer de ne pas être sentimentale ou le l’être moins, et d’être plus fidèle à la réalité. » Passage de septembre 1942 (page 43)

« il m’est absolument impossible de tout construire sur une base de mort, de misère et de confusion… quand je regarde le ciel, je pense que tout ça change ra et que tout redeviendra bon »

« Rien n’est épargné, vieillards, enfants, bébés, femmes enceintes, malades, tout, tout est entraîné dans ce voyage vers la mort. » Passage du jeudi 19 novembre 1942 (page 80)

« Ici, c’est le monde à l’envers, les gens les plus respectables sont envoyés dans des camps de concentration, des prisons, et des cellules isolées, et la racaille règne sur jeunes ou vieux, riches ou pauvres. Les uns se font prendre à cause du marché noir, les autres à cause des juifs ou d’autres clandestins, personne ne sait ce qui arrivera demain s’il n’est pas membre du N.S.B. » Passage du jeudi 25 mai 1944 (pages 299 et 300)

• Les différences avec les autobiographies vues en cours sont :

Les autres autobiographies (vues en cours) sont : « Les Essais » de Michel de MONTEIGNE, « Confessions » de Jean-Jacques ROUSSEAU, « Mémoires d’outre-tombe » de François-René de CHATEAUBRIAND.

MONTAIGNE s’adresse directement au lecteur, c‘est son confident alors que Anne s’adresse à son journal (Kitty est sa confidente). Cependant ROUSSEAU et CHATEAUBRIAND s’adresse à eux-mêmes.

MONTAIGNE et CHATEAUBRIAND publient leurs écrits dans leur vivant (ils ont besoins de reconnaissances) alors que les écrits de ROUSSEAU et de Anne sont publiés à titre posthume.

Chaque autobiographie on leur message à faire passer ici c’est plus « Les mémoires d’outre-tombe » qui se rapproche le plus du Journal d’Anne FRANK. En effet à travers le récit de se vie CHATEAUBRIAND nous explique la société dans laquelle il vit.

C’est presque pareil pour Anne, elle explique et critique la société dans laquelle elle vit que ce soit avant et pendant la guerre, elle nous fait vivre ses histoires du quotidien.

Ce qui est différent dans son autobiographie à elle s’est qu’elle évolue au début (avant la guerre) insouciante et ses préoccupations sont essentiellement tournées vers ses camarades de classe, ses professeurs, les garçons qu’elle côtoie. Elle mène une vie innocente.

Lorsqu’elle écrit pendant la guerre ses pensées et ses sujets sont tournés vers des faits plus grave comme la mort, la culpabilité de survivre, la religion et l’intolérance, la cause de la guerre. Et aussi elle grandit physiquement, son corps change,

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