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Par   •  7 Octobre 2018  •  952 Mots (4 Pages)  •  486 Vues

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Dans un second temps c’est par l’ineptie de l’homme que l’on remarque la dualité de l’intérêt pour les catastrophes. F. Bussy fait signifier que seul le pathos est de mise pour

gérer ces catastrophes, mais en aucun cas de réels moyens sont déployés. “Seul le consumérisme et la production sont à l’ordre du jour, et à l’ordre du monde. Nous le savons tous, nous nous en inquiétons tous, mais rien ne change fondamentalement du point de vue politique, économique et social.” mais aussi lorsqu’il dit “On se résout bien à imposer quelques taxes par-ci parlà, mais il convient de produire et de consommer toujours plus”. L’auteur annonce non seulement la sorte de schizophrénie dans laquelle le peuple est, mais en annonce même des conséquences bien pire que quelconque ouragan ou tsunami.

On ne peut défier la nature, mais on peut s’y préparer. R.-É. Dagorn créer d’emblée la confusion par son titre “les catastrophes naturelles n’existent pas”. De fait, nous ne pouvons plus nous cacher derrière le rideau du naturel à l’heure de la technologie et de la possibilité de pouvoir correctement rebondir en cas de problème. On ne peut certes déterminer ce qui va se produire, mais on peut les prévenir. Des lors, n’est pas un accident ce qui est anticipé. Peut ont fait le pont entre le ​percept

​ et le​ concept

​ . Certains territoires sont plus exposés à subir des tremblements de terres, d’autres des tsunamis. Mais certains de ces pays ont su s’y préparer. A Tokyo, les bâtiments sont généralement bâtis sur ressorts géants afin de supporter les secousses sismiques. Et Katrina n’aurait pas eu 135 milliards de dollars de dette si 30 milliards avaient été investis dans le renforcement des digues à la Nouvelle Orléans.C’est ce qui s’est notamment produit dans le Village Bento Rodrigues, toujours dans l’idée de manque de prévention. Cela soulève le problème de la sur-production avec les déchets miniers et leurs effets collatéraux. La prise de connaissance des facteurs a pu été faite, mais n’a pas été prise en compte.

Bien que l’histoire continue encore de nous raconter ce qu’elle a vécu, nous semblons continuer de faire les mêmes. Nous vivons nos catastrophes avec crainte et rejet, cela marque nos esprits. Nous éprouvons de la peine pour ceux qui les vive mais restons de marbre. Nous ne semblons pas effectuer les démarches nécessaires pour éviter à nouveau cela, pour nous, et même pour nos générations futures. Ces chaos semblent avoir débusquer que l’intelligence humaine est centrée sur le capitalisme, sur la production, mais oublie que le risque zéro n’existe pas.

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