Corpus: Textes sur le thème de l'utopie

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se passage, Voltaire se moque et dénonce avec cynisme, le cérémonial qui est fait autour du roi. Il prône la tolérance et l’égalité ; il croit en la bonté des hommes dû à l’égalité des richesses.

Nous pouvons observer que les deux autres textes de ce corpus sont, Le meilleur des mondes écrit par Huxley et 1984 par Orwell, ces deux textes datent du XX eme siècles et sont toutes deux des réponses aux régimes totalitaires du vingtième siècle.Le troisième texte de ce corpus est un dialogue

entre un membre dit « alpha » de la société mise en place et d’un étudiant.Ici l’alpha représente le politique/le pouvoir qui est préoccupé par un aspect « économique » du système , l’étudiant représente la jeunesse et l’age auquel l’esprit critique est assez développer pour que l’échange entre les deux personnages aboutisse par un débat. Le problème est que l’étudiant est « [...] éperdu d’admiration » , ici Huxley dénonce le conditionnement de la jeunesse.Il questionne sur la liberté de pensée et l’uniformisation des comportements. Ce passage remet en question le fait que, sans liberté de pensée ou esprit critique, nous perdons peut être toute humanité, tout comme cet étudiant dont stoïque tel un robot devant les propos de « l’alpha ». Cette confrontation, entre le politique ou le représentant du système et un être extérieur est reprit dans l’extrait de 1984 où Syme qui représente la partie de Big Brother vas parler de sa destruction du langage par le Novlangue à Winston. Tout comme l’étudiant, Winston ne vas pas contester ou se revolter face aux faits qui vont lui être exposer, mais, contrairement à l’étudiant ce n’est pas parce qu’il à été conditionné très jeune mais plutôt parce que la pression et la surveillance exercer par Big Brother l’empêche d’exprimer toute interrogation ou protestation. Il à néanmoins un esprit critique qu’il n’exprime pas, se qui fait réfléchir le lecteur sur le fait que l’uniformisation du langage, entraîne l’uniformisation de la pensée, donc la réduction de la pensée se qui aboutie a la régression de la langue et de l’esprit critique.Car pour réfléchir on à besoin de nuances.Le langage est semblable à l’homme: nuancé, mouvant, imprécis, retiré toute sa subjectivité revient à déshumanisé l’homme et à lui retirer tout sa singularité. C’est cette déshumanisation de l’homme,le rapport pouvoir et à la liberté de pensé et d’expression limité que l’on peut dire de ces deux textes que ceux sont des dystopies.

On observe donc que ces quatre textes bien qu’étant sur deux genres différents qui sont la dystopie et l’utopie, on en commun l’envie d’affûter l’esprit critique du lecteur sur des problème sociétaux avec un système d’argumentation indirect.