Démonter que Lamartine, dans son poème « Le lac » contemple la puissance destructrice du temps.
Par Raze • 20 Octobre 2018 • 2 309 Mots (10 Pages) • 723 Vues
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➔ Souligne l’omniprésence du temps dans le texte
C.A : La destruction totale du temps
B. Impossibilité de l’homme à fixer le temps
1. Participes passés + adverbes
a) « toujours poussés » (v.3), « emportés sans retour » (v.4), « tout entiers
perdus » (v.44)
➔ Souligne la faiblesse de l’homme devant le temps
C.B : L’homme ne peut que subir l’écoulement du temps.
C.II : Le temps est une force incontrôlable
III. Le temps est une force destructrice
A. Le temps est impitoyable
1. Champ lexical de la destruction et des pertes
a) « emportés » (v. 4) « dévorent » (v. 29), « oubliez » (v. 30), « échappe »
(v. 32), « dissiper » (v. 34), « s’envolent » (v.41), « perdus» (v.44),
« engloutissez » (v.48)
➔ Démontre le caractère destructeur du temps
2. Antithèse
a) « Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface » (v. 45)
➔ Dénote la nature impitoyable du temps
C.A : La destruction totale du temps
B. La fuite du temps
1. Métaphore
a) « nouveaux rivages » (v. 3), « emportés sans retour » (v. 4), « l´océan des âges »
(v.5), « suspendez votre cours » (v. 24), « Coulez, coulez » (v. 28)
➔ Évoque l’écoulement impitoyable du temps
2. Forme interrogative + forme négative
a) « ne pourrons-nous jamais [...] jeter l´ancre [...] ? » (v. 5-6), « [...]
n´enpourrons-nous au moins fixer la trace ? » (v. 43)
➔ Impossibilité du poète (l’Homme) à fixer le temps
C.B : Le temps est irrépressible
C.III : Le temps est incontrôlable, filant et impitoyable.
CONCLUSION
Confirmation : Le poète se rebelle contre le temps qui file mais se résigne
face à sa puissance destructrice
Synthèse : - C.I : Le poète blâme le temps.
- C.II : Le poète constate la puissance du temps
- C.III : L’homme est impuissant face à la force destructrice du
temps
Ouverture : Comparaison avec la promenade sur le lac de Julie et Saint-Preux
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