Théâtre, questions de corpus.

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En outre, sans cette libération des règles strictes, il n’y aurait pas eu lieu la naissance de mouvement qui ne se limite pas à des ordres comme l’absurde chez Beckett, En attendant Godot et beaucoup plus. Les formes de poésies diverses qui ont apparus, la versification qui devient un art de pensée, comme chez Charles Baudelaire, Le Serpent qui danse ou le poète joue avec les rimes et les syllabes afin de construire une certaine musicalité dans son texte.

Alors on peut voir que ce côté subjective des règles classiques peuvent être au désarroi de la liberté et de l’imagination du dramaturge et a ouvert la porte à de nouveaux genres.

En outre, les contraintes du théâtre peuvent aussi venir stimuler la pensée et l’imagination du dramaturge, dans le sens où les règles classiques peuvent convenir à ses pensées. : c’est à dire, que cette unité de temps ou de lieu va être plus simple à exploiter et/ou à expliquer. C’est possible qu’il y ai des auteurs qui préfèrent avoir des frontières auxquelles ils ne peuvent pas dépasser, pour être plus concret et précis. C’est le cas dans les œuvres français les plus connus comme dans Le Cid de Corneille, L’avare de Molière où Antigone de Jean Anouilh… Les spectateurs eux mêmes peuvent être beaucoup moins confus lorsqu’ils savent que l’histoire se déroule en un certain temps dans un seul lieu, en ajoutant le fait qu’ils savent d’avance ce qui les attende. Les auteurs et surtout Aristote étaient convaincus que ce n’était pas crédible de faire tenir en deux ou trois heures de représentation une multitude d ‘événements et de retournements de situation qui s’étalent dans le temps. Et aussi il ne serait pas crédible de dérouler l’action dans plusieurs endroits différents puisque le cadre de la pièce est nécessairement limité à l’espace imposé par la scène.

À ces trois règles fondamentales, il convient d’ajouter l’unité du ton, qui constitue une autre dimension importante de l’esthétique classique : elle imposait de maintenir le même niveau de langue dans toute la pièce et dans la bouche de tous le personnage, ce serait plus compréhensible pour le public. Ces règles peuvent donc être bénéfiques aux yeux des dramaturges.

Pour finir, on peut en déduire que les contraintes font en quelque sorte un obstacle au dramaturge lorsqu’il est empêché de faire ce qu’il veut, en dirigeant et en écrivant sa pièce comme il le veux, et laisser son esprit vide d’inquiétude afin d’écrire tous qu’il désir sans limiter son imagination et aller vers l’horizon. Cependant, ces contraintes peuvent aussi être utiles à d’autres dépendamment de leur style d’écriture ; les auteurs à qui ses règles conviennent bien et auxquelles ils se sont habitués…