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Rabelais, Gargantua / parcours : rire et savoir

Par   •  21 Novembre 2022  •  Commentaire de texte  •  1 664 Mots (7 Pages)  •  1 321 Vues

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La littérature d’idées du XVIe s. au XVIIIe s.

Rabelais, Gargantua / parcours : rire et savoir

Texte 1 : Le prologue

Fin du moyen Age période obscur, christianisme empêcher les gens de réfléchir, pas mal de découverte l’imprimerie… On se rend compte de la grandeur du monde.

Les intellectuel mette la place de l’homme au centre et c’est donc la fin du moyen Age.

Ces en Italie que commence la Renaissance avec Léonard de Vinci et d’autre grand scientifique…

La culture se développe énormément, renouvèlement des connaissance et création du protestantisme et de l’évangélisme (mouvement qui veut revenir a des chose simple pureté, foie et innocences il on va rejeté beaucoup de mite du christianisme).

Rabelais va être sympathisant de évangélique.

Dans gargantua on va retrouver ces fait avec des « prêtre gentil » et des « prêtre méchant ».

François premier fait la guerre contre charlequin et l’Europe et en jeux, 1515 première bataille gagne par François premier qui va en Italie mais 1524 deuxième bataille a pavie François premier perd et est emprisonné pendant un ans puis racheter.

François premier ouvre le collège de France ou tous les intellectuel et humanisme se réfugie pour être en sécurité.

C’est une période instable et Rabelais apparait c’était un moine mais il arrête fait des étude et commence à écrire il a d'excellente relation avec François premier il écrit le mythe de gargantua qui est un géant son père grand bousier est un bon roi qui l’éduque de manière intelligente puis il est envoyé chez les moine pour finalisé son éducation mais la bas c’est l’horreur manque d’hygiène et de réflexion et du coup au final son père le mes chez des prêtre humaniste qui eux réfléchisse et l’éduque.

Quand il grandie il y a un autre roi Picrocole qui veut envahir l’Europe et fait la guerre a son père et le prêtre Jean des Entomere qui s’occupe de lui à la fin reçois une abbaye de la part de son père.

Gargantua est un personnage déjà connue avant Rabelais.

Les trois partie du texte :

-L’éducation de gargantua

-La guerre de picrocole

-L’abbaye de Jean des Entomère

  1. Introduction 

Ce prologue de gargantua présente la méthode que va employer l’auteur pour nous faire part de ses idées à travers des récit en apparence fantaisiste.

Pour cela il débute par une invitation au lecteurs à ne pas se laisser aller à la morosité (tristesse banalité ennuie) mais au contraire se laisser emporter par la bonne humeur que produit la lecture de son œuvre.

Puis il débute le roman par un prologue qui est constitué d’une double métaphore :

Il compare tout d’abord le célèbre philosophe Socrate a une drôle de boite appeler silène, fantaisiste a l’extérieur  et plaine de parfum et de bijoux précieux.

Puis il compare son livre a Socrate par ce qu’il paraissait être un bon vivant peu sérieux dans ses comportement extérieur, alors qu’il était le prince des philosophe.

C’est par cette double digression (hors sujet) qu’il invite le lecteur à aller au-delà des apparences a la lecture de son roman.

  1. Lecture du prologue

Nous verrons comment l’auteur utilise le comique a des fins philosophique.

  1. Annonces du plan

Nous étudierons donc ce texte en deux temps : tout d’abord comment Socrate est comparé a un silène puis comment il faut comprendre ce symbole pour suivre le programme annoncé par l’auteur dans cette introduction.

  1. Etude linéaire
  1. Première axe : Socrate comparé à un silène (écrire une phrase littéraire pas scolaire)

Le prologue est précéder d’un dizain (strophe ou poème de dix vers) liminaire (d’introduction) sous forme d’apostrophe aux lecteurs. Rabelais rappelle ainsi que son oevre est sous les signe du rire. Parce que le rire est le propre de l’homme. Le champs lexical du rire est présent avec vers 6 fait de rire et vers 9 mieux vaut de rire, par ce procédé Rabelais dissimule une réflexion profonde et pertinente sur le genre humain pour peut-être montrer de l’enthousiasme dans la lecture de son roman ou peut-être pour popularisé son livre.

Ces donc le burlesque qui sera le registre principale (cad l’emploie de terme comique ou vulgaire pour traiter de registre noble).

Dans le prologue c’est le terme buveur qui introduit l’univers Rabelaisien. Il faut prendre ce mot dans ca double acceptation au sens propres et au sens figuré cad celui qui boit du vin mais aussi celui qui est assoiffé de connaissance, l’ambigüité entre ces deux sens provoque chez le lecteurs le rire.

Il évoque ensuite à partir de la ligne 3 du prologue, le personnage de Socrate telle qu’il est décrit par Platon dans le livre intitulé le banquet le rapport avec le mot buveur est apparent. La référence avec la philosophie grecque tranche avec le burlesque d’introduction. Elle rappelle que Rabelais est un homme de la renaissance imprégner de culture grecque ce qui apparait déjà comme une revendication humaniste.

Socrate est comparé d’après Platon a ces boite que l’on appelait des silène dont Rabelais va nous faire la description de la ligne 4 a la ligne 9, pour décrire ces boites il a recours aux burlesque à travers l’accumulation de terme complexe « frivoles, harpies, satyres, … ».

A la ligne 4 Rabelais fait référence à Platon s’excusent de l’avoir cité en expliquant la comparaison que fait Platon entre Socrate et les silène (ligne 4 à 11). Mais ne nous filons pas à cette explication.

Cette explication semble être le témoignage de son humanisme et surtout de son gout pour l’écriture : « comparaison, énumération (dernier mot fantastique), terme antique (ancien), expression populaire et même jeux de mot (comme canes bâtées), suggestion cocasse (oiseau bridés) », toute cette variété est le signe du plaisir verbale qu’il éprouve à écrire, cela confirme bien la puissance de son livre dont il cherche la preuve, mais il éprouve aussi un enthousiasme devant la figure de Socrate. Le disciple du philosophe est épris (amoureux) de l’antiquité grecque, nous retrouvons les même caractéristique de l’écriture de Rabelais, lar même éphorie (joie) verbale par ces accumulation innombrable (l.12-l.23).

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