Lettre persanes, Montesquieu
Par Matt • 25 Juin 2018 • 983 Mots (4 Pages) • 715 Vues
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procédé
citer
Interprétation
question rhétorique
«le premier objet religieux ne doit-il pas être plaire à la divinité, qui a établi la religion qu'il professe ? »l. 7-9
Justification introduite par une question rhétorique et qui repose sur un syllogisme Dieu aime les hommes, donc tout homme qui dit aimer dieu doit aimer les hommes. D'après Montesquieu, la chose que chaque croyant devrait recherché serait de plaire à la divinité qui a établit la religion auquel on croit. Cette question rhétorique est suivi par une sorte de réponse, conseil, c'est que le croyant devrait « observer les règles de la société et les devoirs de l'humanité » ainsi agir comme un citoyen comme il le montrait plus haut. Il considère que Dieu aime les Hommes et que pour lui plaire on se doit aussi d'aimer les hommes, et non de se « disputer sans fin sur la religion ». les rites n’ont aucune importance.
Hyperbole
« un homme faisait tous les jours à Dieu cette prière»
Cet homme est représente comme relativement impliqué dans la religion, en autre car il prit tous les jours, cependant nous allons voir que cette hyperbole va faire insister sur le désarroi de cet homme face aux querelles incessante à propos de la religion, il ne sait comment plaire à Dieu à cause de cela et ainsi lui prie tous les jours afin de comprendre.
Oppose Dieu à un homme
« je voudrai vous servir dans votre volonté mais chaque homme (…) veut que je vous serve à la sienne »l.14-15
L'homme raconte ici qu'il cherche à plaire à Dieu mais que lorsqu'il va consulter des hommes pour demander de l'aide pour servir Dieu, il ne fait que de lui dire comment lui plaire à lui et non à Dieu. Les hommes apparaissent ici ainsi comme des manipulateurs égoïstes poussant chacun à suivre ses ordres sous prétexte de servir Dieu alors que en réalité ce n'est pas du tout le cas. Montesquieu critique ici l'église d'autrefois qui était favorisée et qui persécutait tous les hommes qui ne croyaient ou qui ne les servaient pas.
Répétition négation « je ne sais pas »
l.16
L'homme est perdu, « l'un dit » « l'autre veut » « l'autre exige ». Chaque homme veut imposer son autorité et ses croyances à l'autre, certains même l' « exige ». L'homme est littéralement perdu parmi toutes ces religions et croyances, entre prier debout, assis, entre la langue qu'il doit ou pas parler.
Insistance de la négation
« Ce n'est pas tout »
Il ajoute que « Ce n'est pas tout », il est accablé par tant de restrictions contradictoires.
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