Baudelaire, les petites vieilles
Par Ninoka • 21 Novembre 2018 • 686 Mots (3 Pages) • 1 482 Vues
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la viellesse est inévitable même en étant la plus belle ou la plus laide femme au monde la fin est la même pour tous il défend alors les petites vielles .
v7 « Monstre brisés,bossu ou tordus,aimons-les ce sont encore des âmes »Il y’a la un paradoxe car Baudelaire les décrit a la fois comme des monstres ayant un physique ingrat, et a la fois comme étant des humain qui ont une âme et qu’il faut aimé.
Ce qui provoque une certaine pitié chez le lecteur.
Il y’a une certaine délicatesse du regard et une attention du détaille au v12 « un petit sac brodé de fleurs ou de rébus »
v19-20« ils ont les yeux divins de la petite fille qui s’étonne et qui rit a tout ce qui reluit »
Avec le temps leurs corps c’est transformé et la vieillesse sur leurs visage et leurs corp est présent marqué par les rides etc… Seul leurs yeux n’a pas changé les petites vielles ont toujours ces yeux de petites filles même avec les années qui ont passé.
v27 « que cet être fragile » v33-36 «ces yeux sont des puits faits d’un million de larmes des creusets qu’un metal refroidi pailleta ces yeux mystérieux ont d’invincible charmes pour celui que l’austère Infortune allaita »
cette dernière strophe révèle que les petites vielles ont du vecu faites par des millions de larmes et qu’avant de devenir des monstre elle aussi étaient des mères
Conclusion
Son regard sur les petites vielles est a la fois cruel et tendre malgrès la sévérité des mots ils compatis avec elles .
Ce poème est un poème de flâneur Baudelaire nous force a regarder ce qu’on ne voit pas. La Beauté de la laideur.
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