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En d'autres termes, les vols discounts peuvent-être embêtant. Depuis les compagnies aériennes aux services minimum, comme tous les transporteurs, gèrent activement leurs prix des billets, les vacanciers soucieux des prix doivent réserver des mois à l'avance pour être sûr d'obtenir ces tarifs d'accroche aux prix très bas . Les passagers d'affaires à la recherche d'un vol à cette réunion de dernière minute peuvent avoir à payer beaucoup plus - encore souvent inférieure à un billet sur une grande compagnie aérienne, mais peut-être pas assez pour justifier que bon marché en taxi vers et à partir d'un aéroport lointain. Tous les passagers effectivement volent en classe bétail , souvent confrontées à de longues files d'attente d'enregistrement au départ et à l'arrivée des bagages endommagés. O'Leary, pour un, ne s'excuse pas du faible niveau notoire de service de Ryanair. "Notre service aux clients est que nous allons vous rendre en toute sécurité à votre destination pour le prix meilleur marché aux environs," dit-il.

Easyjet a récemment été plus disposés à bricoler avec son modèle d'affaires. Non seulement il discutait avec Airbus et Boeing sur les nouveaux avions pour sa toute nouvelle flotte de Boeing 737, mais la compagnie aérienne est également en train de tourner vers Gatwick, le deuxième aéroport le plus occupé de Londres avec une liaison ferroviaire express vers la ville, dans sa base britannique principale . Le mouvement va augmenter les droits d'entrée et risque de ralentir les délais d'exécution pour les avions - mais il peut aussi attirer davantage de ces passagers d'affaires payant plus cher. "Nous révisons une vache sacrée dans le secteur", dit Ray Webster le PDG de easyjet . Mais il insiste pour dire qu'il n'a l'intention de jamais offrir les salons d'affaires confortables et des repas en vol que les compagnies aériennes plein Service font.

Les majors ont encore assez de muscle pour au moins créer des ennuis discounters. En Allemagne les compagnies low cost ont accusé Lufthansa de prix prédateurs: ils prétendent que le transporteur national réduit les tarifs sur certaines routes, y compris Stansted à Munich, également desservies par Go - pour conduire les discounters loin. (Lufthansa s'est retirée de Stansted en fin d'année dernière.) Bien que Ryanair va établir une nouvelle base européenne à Francfort-Hahn, un ancien aéroport militaire à 100 km du centre-ville, il ne sera pas en mesure de comparer ses prix à la Lufthansa dans la presse allemande. Ryanair a fait appel devant un tribunal allemand concluant qu'elle ne peut pas décrire l'aéroport dans les publicités comme Francfort-Hahn, soit. Et en France, easyJet encore se voir accordé les créneaux d'atterrissage qu'il a demandés au occupé de l'aéroport d'Orly à Paris il y a six mois. Pendant ce temps, la Commission européenne étudie les conditions offertes à Ryanair par l'aéroport de Charleroi, près de Bruxelles, au milieu des préoccupations que le transporteur obtient des incitations préférentielles là-bas.

De toute évidence, les discounters européens sont sur quelque chose, sinon ils ne prendraient pas de telle protections. Et puisque la demande pour les Billets à faible prix est peu probable de disparaître, ils vont continuer à voler haut à moins que, dans les mots de O'Leary, ils se bousillent eux-mêmes.