Éducation morale et civique

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Le manque de dons :

Selon France Info, plus de 12 000 greffons manquent chaque année pour pouvoir sauver les personnes en attente de transplantation, qu'elles soient cardiaque, rénale, hépatique ou pulmonaire. Face à cette pénurie de dons, les chercheurs planchent donc sur d'autres alternatives. En effet le manque de don est un aspect négatif car la demande est trop élevée comparé aux dons. C’est pour cela que des chercheurs se concentrent sur une nouvelle technologie : l’organe artificiel. Pour remplacer les organes défaillants, sans attendre un greffon compatible, les médecins travaillent d'abord sur la mise au point d'organes artificiels et autonomes, mêlant biologie et ingénierie.

L’opinion publique face aux OAI :

L’avis de cette nouvelle « technologie » fait débat. Pour certaines personnes les OAI sont une bonne avancée dans le domaine de la science, cette dernière pourra sauver des vies ou aider de nouveau-né ayant des problèmes de naissances. Mais le fait de pouvoir changer une partie du corps peut créer de nouvelles inégalités entre les personnes ayant les moyens de se payer un OAI et les personnes qui ne le peuvent pas.

II.Les Limites techniques et éthiques des OAI.

Les limites techniques

Les limites éthiques

III.Résoudre les problèmes liés aux OAI

Les problèmes d’éthiques

Nos sociétés sont actuellement confrontées à de nombreux problèmes d'éthiques vis à vis des nouvelles technologies.

En effet, nous entrons dans une ère où les avancés scientifiques tendent de plus en plus à modifier l'humain (bien que l'homme ai depuis longtemps de tels objectifs, ce genre de recherches ne touchaient pas autant le grand public qu'actuellement ce qui réduisait les débats autour de cela).

Ces questions restent très subjectives, et nécessite une évolution et une remise en question de nos principes, aussi bien à l’échelle d'individus qu'à l'échelle de sociétés entières, une évolution qui ne pourras se faire qu'à force de débats, peut être devrons nous attendre un changement générationnel.

Les problèmes lié aux religions ne peuvent pas être «résolu», en effet, il ne dépend que de la volonté des autorités religieuses et des croyants à faire évoluer leur conception de leur religion afin de prendre en compte l'évolution des technologies.

Comme la religion, le problème de la déshumanisation dépend de la perception des gens à l'encontre des OAI, cependant on peut distinguer plusieurs «types» d'OAI, plus ou moins visés par les considérations de ce genre, en effet certains OAI restent constitués de cellules humaines, et ne peuvent donc pas être considérées comme «déshumanisante». Quant aux organes fabriqués à partir de composants non organiques, le problème n'est plus de savoir si il y a oui ou non déshumanisation, mais plutôt de savoir si la société est prête à l’accepter.

Les problèmes techniques

Un des principaux moyens pour diminuer les coûts des OAI réside en la simplification des processus de fabrication, même si cela reste hypothétique, en effet ce facteur n'influe pas toujours sur les prix des produits, prenons comme exemple la plupart des objets High-tech «grand public» (tel les smartphones ou autres objets connectés *), qui malgré des processus aujourd'hui maîtrisés et des coûts de fabrication de plus en plus bas restent à des prix excessivement élevés.

Ils nous faut donc trouver d'autres facteurs pouvant influer sur le coût de ces technologies, on peux penser à la régulation des tarifs par l'état notamment, comme c'est actuellement le cas avec les médicaments remboursables en France.

Beaucoup des problèmes rencontrés restent subjectifs, dépendent de la capacité des gens à ouvrir leurs idées à de nouvelles façon de concevoir la médecine ou l'humain en tant que tel. Je pense cependant que la capacité à sauver des vies jouera beaucoup en la faveur des OAI, les familles hésiteront moins si cela peux leur éviter la perte d'un être cher, ils seront prêt à faire des concessions d'ordre morales.

En conclusion, il y a de forts contrastes entre les côtés positifs de ces nouvelles technologies et les aspects négatifs.

Tout d’abord les problèmes liées aux sciences, permettent de nos jours d'implanter seulement quelques organes, mais la science avec le temps a permit une forte avancée. Il est légitime d'annoncer qu'à cette vitesse là, dans quelques décennies l’être humain pourra dépendre de cette technologie.

Du point de vue médical cela permet de résoudre le problème du manque de don d’organe. Mais les organes artificiels implantés sont aussi une grande révolution dans le domaine scientifique.

Du côté éthique, beaucoup de problèmes rencontrés sont subjectifs, et dépendent de

la capacité qu'a l'Homme à ouvrir ses idées à de nouvelles façons de concevoir la médecine ou l’humain en tant que tel, mais il est légitime aussi de dire que la capacité à sauver des vies jouera beaucoup en la faveur des organes artificiels implantés.

Le contexte d’utilisation de cette pratique peut également être source de tensions. Comme dit plus tôt, les organes artificiels implantés sont une révolution dans le domaine scientifique au niveaux moral puis éthique, c’est une grande révolution en bien ou en mal,