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L'essor démographique et agricole

Par   •  28 Octobre 2018  •  1 465 Mots (6 Pages)  •  349 Vues

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sont très modeste. Par contraste, la Flandre obtient des rendement plus élevé au prix 9 labours.

La terre reste mieux préparé parce qu’on va passer de l’araire à la charrue qui réalise un labour plus profond et plus efficace.

Lorsqu’il fait chaud, la terre forme des croûtes qu’il faut briser à l’araire. La charrue est indispensable pour les sols lourd.

Les bœufs vont laisser la place aux chevaux pour tirer la charrue. Les chevaux sont plus rapides et sont plus fort.

On utilise le collier d’épaule là, ou la puissance de l’animal est la plus optimale.

Les liens entre ville et campagne se renforcent.

L’élevage connaît son embelli dans tous les secteurs. Les chevaux, les bovins pour l’attelage, la viande, le lait, les ovins pour le cuir et la laine. L’animal préféré de l’époque est le porc. Source fondamental de protéine.

Moment de l’année avant le carême où on mange de la viande fraîche.

On utilise la graisse pour s’éclairer, et les poils.

Entre pays du sud et pays du nord il y a une distinction.

Les régions méridionales font un élevage extensif. Alors qu’au nord on envoie les bêtes dans les zones boisés.

Au cours du 12e siècle le nombre de bétail est multiplié par deux.

Des céréales, de l’élevage, il ne faut pas oublier à tous ça les produits du courtils.

Le courtil c’est le jardin, c’est la petite part de propriété du paysans. On soigne cette partie, parce que le jardin donne des fruits et des légumes (poires, lentilles) qui constitue la base de la souple. Le pain et la souple sont la base du régime alimentaire.

Il y a également la vigne, qui règne autant pour son importance symbolique, l’eucharistie et la messe, mais également pour ses apport nutritif. Généralement l’eau a cette époque est impropre à la consommation.

La vigne est cultivé partout, de plus ou moins bonne qualité.

Le vin est une boisson parfumé d’épice et fortement alcoolisé, une consommation de 2L/par jour/par personne.

III/ Les transformations techniques en arrière-plan

Les historiens ne parlent pas de révolution à proprement dit. On assiste à la diffusion empirique de technique découverte auparavant.

Avec ce nouvel esprit d’échange, on redécouvre et on banalise certains usage comme le moulin à eau. Il est courant à partir du 13e siècle, on utilise la force hydraulique pour moudre la farine. Cela simplifie la vie des gens.

Néanmoins, le monde médiéval reste pré-industrielle. Pour différentes raisons :

→ Il n’existe pas de production de masse à bon marché, les produits sont chères mais de très bonnes qualités. On ne jette rien on réutilise

→ Le petit atelier familial est roi, car il n’existe pas d’usine.

→ L’équipement lourd est rarissime, les outils sont souvent en bois et les machines sont longtemps mal vu. On pense qu’elle travaille moins bien que l’homme. Par exemple la draperie de qualité, que l’on créer dans la Flandre, on a des règlements de métier qui interdise les moulin à fouet. On préfère fouet au pied.

→ Les investissements sont modestes. Un métier à tisser vaut moins chère qu’un sac de laine.

→ La force motrice disponible est immobile, donc d’emploi peu commun.

Le développement de la métallurgie artisanale a constituer un autre facteur important pour le processus de croissance. Les mines de fer sont plus nombreuses, les forges se multiplient dans les forêt qui fournissent donc le bois combustibles. Souvent traversé par des cours d’eau ce qui permet de mettre en mouvement les marteau et les souffler. On assiste à un dvp de l’outillage en fer sous la forme de hache, de bêche, de fossile, des pièces métallique pour la charrue, des fers pour les chevaux.

Les impacts sociaux et politiques, au village, le forgeron est un personnage d’importance, il est le premier derrière le curé. Plus respecté que le meunier.

Le fer exerce une fascination.

Les centres de production se trouvent dans des villes comme Milan. Cette sidérurgie permet de préciser que dans le cadre villageois tous le monde n’est pas uniquement paysans.

En accompagnement du développement de l’exploitation rural, on va voir apparaître un artisanat rural qui connaît un certain essor. Le travail du bois, de la pierre, le four à poterie, c’est la brasserie, la fabrication du pain, et le textile pour des opérations élémentaire (jusqu’au filage pour la laine, le croisement des fils c’est le travail de la ville)

On estime que la part des artisan se situe à hauteur de 10 à 15 % de la population rural.

Un valorisation idéologique du travail après le déclin de l’esclavage. Ces populations monastiques ont mis en valeur le travail

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