Les enjeux agricoles
Par Andrea • 2 Mars 2018 • 1 387 Mots (6 Pages) • 531 Vues
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- B) Les cultures de rente : un impact controversé
- 1/ Les critiques formulées
- critiques commencent dans 1970’s cf tiers-mondisme : développées au détriments des systèmes traditionnels (calendriers, argent pour ho seuls…) => à l’origine des pénuries (cf double concurrence pour la terre et la force de travail). 2e critique : pays du Sud restent dépendants du marché du N.
- 2/ Des critiques à nuancer
- cultures commerciales remplacent rarement cultures vivrères cf dans de nouveaux espaces. De meme, souvent une meme exploitation a des cultures de rente et des cultures vivrières.
- De plus maintenant, les paysans sont ok pour cultiver les cultures de rente (ex : le coton etait mal aimé au soudan au début mais cultivé de plein gré au mali, Tchad, maintenant). L’Afri s ‘adapte donc au marché.
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- C) L’opposition culture commerciales/cultures vivrières : un débat passé
- 1/ des cultures commerciales de plus en plus soumises aux lois du marché mondial
- depuis les années 1980 : réformes pour rendre les cultures de rente ouvertes sur le marché mondial (alors que subventions + au N…). les afr souffrent de cette concurrence internationale.
- 2/ Des cultures vivrières de plus en plus tournées vers les marché urbains : « le vivrier marchand »
- cela est du a la hausse du nombre de consommateur urbains en afr. Cela facilite la culture vivrière, plus rentable que la culture de rente. Les circuits commerciaux touchent bcp de gens et servent a nourrir les acheteurs locaux (ex : fraise du burkina nourrissent l’afr).
- Il y a donc une ouverture sur l’économie de marché, mais a plus petite échelle.
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- III…Les enjeux du développement agricole africain
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- A) Les grands défis agricoles
- 1/ Le défi de la production vivrière
- l’Afr subsaharienne a du mal a suivre le rythme de la démographie. Meme si productivité augmente (cf culture de rente, densification de pop rurales), il reste des poches de malnutrition, que seuls des mutations profondes pourront résorber.
- 2/ Le défi des productions destinées à l’exportation
- A l’indep, les Etats reprennent les modèles coloniaux : sécurité financière et des prix des agriculteurs (ex : Houphouët Boigny en Côte d’Ivoire). Mais pour intégrer la mondialisation il faut abandonner ce modèle dirigiste. Cela crée des tensions, comme l’afr et les USA a propos du coton.
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- B) Une contrainte majeure : le statut de la terre en Afrique subsaharienne
- 1/ Les enjeux politiques
- Afri australe (Zimbabwe…) : grandes propriétés tenues par pop blanches et petites par pop noires. Cela crée des tensions, les blancs partent. En Afr du SUD, la fin de l’apartheid => revendications foncières, il fut donc redistribuer les terres sans altérer la nouvelle « entente » entre les communautés.
- 2/ Les enjeux socio-économiques
- le statut traditionnel de la terre
les paysans africains ne disposent que de l’usufruit de parcelles qu ils cultivent cf la terre appartient à un « chef de terre ». Mais avec cultures arbustives, ce rapport a la terre change cf chacun veut posséder la terre, meme si compliqué cf presque impossible d’acheter la terre.
- La terre : un facteur de production de plus en plus convoité
La pression sur le foncier se fait partout ressentir. Le « chefs de terre » se transforment en « propriétaires fonciers ». il y a aussi des « entrepreneurs agricoles » autour des villes. Il y a donc une inégalité d’accès au foncier et les risques de tensions sont forts. Ex : pour avoir une terre au Sud cote d’ivoire, il faut descendre d’une lignée du sud du pays…
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- C) Les formes d’action du développement rural africain
- 1/ Les schéma de développement impulsés de l’extérieur
- a l’époque coloniale, l’administration a favorisé le processus de modernisation (crédit, irrigation …). Depuis les indep, le poids de l’agriculture fait qu’elle reste au cœur des politiques de développement (projets hydrauliques, APD, transferts de compétences N-S..).
- 2/ Le développement rural impulsé par les paysans
- les paysans afri se montrent capables d’innovation => ONG aident a des projets d’irrigation. Les femmes participent ++ alors que souvent ignorées par gouvernements.
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- D) Perspectives de développement
- 1/ L’irrigation
- toujours largement étrangère aux pratiques de la majorité de paysans africains. Dès époque coloniale : grands barrages (Sennar, Akossombo…, certains disent trop chers, bénéfices -, facilite épidémies) —> échecs => privilégie plus petits projets (aide des ONG).
- 2/ Les transports
- il faut un réseau de transport efficace permettant d’accéder aux marchés. Traditionnellement, le transport se faisait par portage. Aujourd’hui, la route permet la mise en place de véritables réseaux, et les régions mal desservies restent en retrait.
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