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Histoire contemporaine sur les monarchistes

Par   •  22 Août 2018  •  4 311 Mots (18 Pages)  •  482 Vues

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En 1877, l'état dit a La Tribune que le anticléricalisme pas dénoncé par Julie simon et macmaon est contre, suite a cette épisode le 16 ma 77 crise car il écrit une lettre a Simon ou il déplore et estime qu’il n'a plus l’autorité nécéssaire pour les assemblés. Macmaon affirme que sil n'est pas responsable comme lui envers le parlement il a une responsabilité envers la France.

Simon doit avoir la majorité dans les chambres sinon il est renversé alors que macmaon n'a pas ce problemes et cette responsabiliité française dont il parle et estime quil peut renversé son chef de gouv.

Pour les républicains cest un scandale non respect envers la démocratie et macmaon justifie par le rlle du président de la république si il n'arrive pas a trouvé une solution entre ses propres idées et celle des chambres il doit pouvoir changer.

Des le 17 mais il appel ALBERT DE BROGLIE, gong conservateur conforme a macmaon et sappuie sur cette lecture qui est légitime. Rien d’ilégale vue que le texte est ambiguë, annonce 2 droit accordé au président qui est d’ajournée les chambres cas ne siégerons plus pdt temps de temps et dissoudre la chambre des députés avec l’accord du sénat qui est principalement monarchiste donc accorde. Macmaon provoque une crise par l’utilisation des texte et du droit de dissolution, l’équilibre est rompue.

En 52, Bonaparte affirme quil faut que la France ait un chef responsable gouvernée un pays centralisé par la royauté et la révolution. Il écrit une charte que le chef est irresponsable c'est mentir, car ce n'est pas possible il faut que le président dirige le pays.

Les républicains et monarchiste vont rentrée en campagne chacun de leur coté JULE FERRY appel ca la lutte contre la loi parlementaire, on dénonce la dictature ce qui est exéddif, ferry explique que macmaon n'a pas le droit de donnée une vision. Puisque le président estime que sa repsonsabilité envers la France fait de lui un pc indépendant et a la possibilité de former un gouv conforme a ses envies mais DE BROgLE dira ……

La chambre des députés refuse ce changement et entre en résistance, gambéta alors dira losque les élections se seront tenu il faudra se soumettre ou se démettre pour lui lorsque les républicains auront de nouveau un maorité a l’assemblé, soit macmaon sera obligé de suivre les républicains soit il devra démissionner.

Suivant ses propres idée macmaon va constinué de s’engagé dans la vie politique et dans les campagnes pour expliqué ses visions, le pouvoir va prendre des mesures de réprétion assez importante, des conseil municipaux sont dissou, des maires révoqué ou déplacer et nnombreuse condamnation pour outrage ou offense au président.

Pourtant les élections donne a nouveau majorité au républicain , en 77 mALGRÉ LA répression de macmaon. Il va faire un choix important, celui de rester dans la légalité car un conservateur lui demande de dissoudre à nouveau la chambre des députés et rester au senat, utilisé tout les moyens possible légaux mais ilégitime tout de meme. Il n’est plus possible de rester sur cette vision qui a été refuser 2x par les électeurs et le senat explique qu’une nouvelle dissolution ne devrait pas avoir lieur et le président ne doit plus se méler donc il va se soumettre comme lavait demandé gambeta.

Le 14 deg 77, apres les élections, macmaon que l'exercice du droit de dissolution n'est qu'un mode de consultation suprême auprès d’un juge suprême et ne peut etre hérigé du système du gouv, on ne peut pas gouvernée par une dissolution 1x apres il faut suivre les électeurs. Il conclu en disant que la constitution a établie une gouv parlementaire et se range a l’oppinion des républicains validé par les urnes et force macmaon a accepté la vision des républicain.

Néanmoins on ne va pas jusqu'au bout du monisme, le monisme s'impose par les urnes et a une position plus réduite que le président. Évolution du pv éxécutif dans son ensemble en essayant de nomé lui-même le truc du gouv macmaon a transgréssé un interdit pour les répblicains, pour eux cest les chambre qui doivent pouvoir désigné le président du conseil.

Méfiance depuis Bonaparte et cette acte de macmaon ne fait qu’amplifie et vont encadrer le président. E n 48 il avait des pv important face au parlement il avai sa propre légitimité et la utilisé pour faire un coup d'état et macmaon fait le meme pour eux cest un coup d'état qui a échoué meme si cetait légal et que cela pouvait découlé des texte mais au vue des républicains il va etre assimilé à Bonaparte.

La crise donc va perdurée jusqu'en 79 ou la n va trancher

En 77 premier règlement de ce compromis et va y avoir un règlement constitutinnelle plus profond qui lui ne dépends pas de la majorité u gouvernement.

- La constitution grévy : règlement constitutionelle du compromis dilatoire

L’évenmenet en 79 ou les 2evenement sont d'abord le renouvèlement partiel du senat 5 janvier 79 la majorité bascule en faveur des républicains. La conséquence imédiate est que macmaon n'a plus espoir de gouverné, la seul option était de sappuié sur le senat mais il finit isolé. Les monarchiste espérait une renouvellement en 80 en donnant l'initiative au président pour lui donne du temps pour revoir la constitution mais il se retrouve mtn isolé. Enfin comme le parlement souhaite faire une épuration de l’armée et révoqué les généraux monarchiste pour mettre des républicains qui est la mesure de trop pour macmaon lui mem étant maréshal l refuse que les républicains touche a larmée et démissione le 30 janvier.

Le senat devient républicain et le 30 macmaon démissionne et le jour meme l’assemblé nationale va élire jule grevy a la présidence de la république qui jusque la était le président de la chambre des députés. Derniere étape de la conquête républicaine des institutions, un choix qui est très symbolique car en 1848, dans le débat propos de la constitution, de la création du président de la république, 1er fois quelle se dote d’un président et grevy cétait présenté contre et concoit la souvenraineté comme ne pouvant pas etre partager et son idéal institutionnelle est un parlement monocamérisme 1seul chambre et élu au suffrage Universel. I estime que la séparation des pouvoirs est la grande erreur de notre temps et la séparation stricte entre le président et d’autre par le pouvoir du parlement.

Il s’oppose à lamartine qui

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