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Résume L'Oeuvre de Emile Zola

Par   •  26 Novembre 2017  •  3 877 Mots (16 Pages)  •  783 Vues

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Chapitre trois

Un des jours suivants, Claude décide de s’accorder quelque repos et de ne pas travailler sur sa toile. Il va ainsi décider de sortir flâner dans les rues parisiennes et, peut-être, rendre visite à des amis. Il se rend tout d’abord dans l’école d’architecture pour y saluer son vieil ami Dubuche. Il est très froidement accueilli par les élèves d’architectures qui travaillent depuis des jours sur leur projet personnel. Les deux compères partent ensuite ensemble au hasard des rues de Paris et rallient à leurs bras Sandoz, Mahoudeau, Jory, Gagnière et Fagerolles, qui sont également leurs amis, touchant de près ou de loin à l’art. La bande d’amis rejoint ensuite le café Baudequin qu’ils ont l’habitude de fréquenter, et où ils se réunissent chaque dimanche pour débattre sur l’art. Ils y rencontrent Irma Becot, une femme habituée à trainer aux bras d’artistes. Enfin, ils rejoignent la demeure de Sandoz pour le repas hebdomadaire qu’il organise chaque jeudi soir. Deux autres connaissances viendront compléter le groupe. Les discussions porteront sur l’art et son actualité, et sur les rêves de conquêtes des jeunes gens. La soirée se terminera tard dans la nuit avec Claude rentrant avec Bongrand, un autre peintre plus âgé, ayant déjà réalisé quelques chefs-d’œuvre.

Chapitre quatre

Un matin suivant alors que Claude travaille dans son atelier, quelqu’un frappe à sa porte. Il cria familièrement « entrez », s’attendant à voir sa concierge. Cependant il a la surprise d’apercevoir Christine. Il n’avait pas eu de nouvelle d’elle depuis la nuit où elle avait couché dans son atelier/appartement. Bien que visiblement gênée, Christine explique sa visite par un besoin de remerciement envers l’hospitalité et l’amabilité du peintre. Cette rencontre encore maladroite entre les deux timides, procure semble-t-il un effet inconscient sur les deux jeunes gens. En effet, suite à cela, va se poursuivre des rencontres régulières entre les deux amis. Des entrevues qui resteront pleinement platoniques. Christine contera à Claude sa jeunesse à Clermont Ferrand, avec entre autre, le décès de sa mère, et son séjour dans un couvent qui ne fut pas une réussite, religieusement parlant. De son côté, Claude initiera Christine à son amour pour la peinture. Visiblement peu intéressée sur le sujet au départ, elle finira par se passionner pour cet art. Un jour, ils faillirent être surpris par Irma Becot et Gagnière qui venait rendre visite au peintre. Christine dut se cacher derrière un paravent. La visite portait sur le fait qu’Irma voulait poser nue sur le nouveau tableau de Claude. Il fut d’ailleurs gêner que son amie cachée dans la pièce eu entendue ca. Cependant ils n’en reparlèrent plus jamais. Peu à peu, ils décident de se rencontrer dans les rues de paris et de balader bras dessus, bras dessous. Bien qu’elle fût réticente au départ, elle accepte que Claude la raccompagne jusqu'à son lieu de travail. Un jour, Claude fut gêner d’apercevoir face à lui Sandoz et Dubuche, mais ces derniers par compréhension feront mine de ne pas le reconnaître. Malheureusement, le peintre va éprouver de nombreux problèmes sur sa toile actuelle. En effet, celle-ci doit être prête dans de cours délais mais Claude a du mal à trouver un modèle. Christine par amitié accepte dans un premier temps de poser pour lui le visage, puis quelque temps après elle va poser entièrement nue malgré sa pudeur.

Chapitre cinq

Le jour de l’exposition est arrivé. Malheureusement le tableau de Claude n’a pas séduit le jury et ne figure pas dans le salon officiel des exposés. Cependant, il est repêché par l’empereur Bonaparte, et exposé dans le salon dit des « refusés ». Claude passe chercher Sandoz et ensemble, ils se rendent au salon. Ils doivent pour y pénétrer passer à travers la foule présente ce jour là. Durant leur chemin ils y rencontrent tous leurs camarades. Ils aperçoivent même Dubuche en compagnie d’une famille bourgeoise, les Margaillan, ce qui ne manque pas d’écœurer ces amis en le voyant. Ils arrivent enfin dans la pièce où est exposés l’œuvre de Claude, « plein air », et c’est à ce moment là une cruelle désillusion pour le peintre, qui fait fasse aux ricanements et aux critiques de la foule. Ses amis néanmoins restent un soutient pour lui en prenant sa défense. Au sortir de l’exposition, ils doivent traverser le salon officiel, qu’ils regardent avec dédain et mépris. Sur le chemin du retour, la bande d’amis se remet à rêver, Claude en meneur, sur des jours meilleurs et la conquête de Paris. Même Dubuche qui vient de les rejoindre ce laisse gagner par cet enthousiasme, et s’anime en révolutionnaire. Le groupe se sépare alors, et Sandoz propose à Claude de venir manger chez lui. Ce dernier refuse énergiquement affectant un mal de crâne terrible. En arrivant chez lui, sa concierge lui apprend qu’une dame l’attend chez lui. Lorsqu’il rentre il aperçoit Christine sur son lit. Elle affecte de venir en ami pour le soutenir suite à son insuccès. En effet, elle aussi s’est rendu au salon des refusés et à juger méchante la réaction du public. Suite à cela, Claude s’effondre en larmes, c’est alors que Christine le prend dans ses bras et commence à l’embrasser.

Chapitre six

Christine quitte l’appartement le soir même. Bien qu’elle soit heureuse de se dénouement dans sa nouvelle amitié, elle n’oublie pas ces devoirs envers madame Vanzade. Cependant elle revient le lendemain au grand bonheur de Claude. Il a l’idée de l’amener passé la journée à la campagne au bord de la Seine au sud de Paris. Ils y rencontrent des amis à lui et notamment un vieux paysan cherchant des locataires pour une maison perdu dans les plaines. A partir de se moment là, Christine éprouve un réel besoin de rejoindre souvent son ami. Elle finit même par démissionner de son travail malgré le respect qu’elle porte à madame Vanzade. Claude décide de vendre quelques une de ces toiles, et part vivre avec la jeune fille à la campagne dans la maison qu’il avait visitée précédemment située à Bennecourt. Ils vivent là-bas très heureux dans leur solitude, à faire des ballades au bord et sur l’eau. Ne travaillant que faiblement et s’occupant de tâches ménagères. Au début de l’hiver Christine ce rend compte qu’elle est déjà enceinte de trois mois. Le couple accueille l’enfant avec beaucoup d’amour. C’est à ce moment là que Claude se remet au travail en peignant la campagne avec sa femme et son fils, Jacques, comme modèles. Peu à peu,

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