Les inégalités de répartition des revenus

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de l’épargne a augmenté il est passé à 46 milliards. C’est grâce aux prestations sociales que la réduction des inégalités existe : elles réduisent 32 % l’écart entre les plus riches et les plus pauvres alors que les impôts le réduisent de 17 %. Les prestations en nature des services publics ont un effet re distributif massif, leur rôle dans la réduction des inégalités est bien plus important que les prestations monétaires au total ils réduisent de 70 % l’écart. Cependant les impôts dits « indirects » comme la TVA sur la consommation et la taxe sur l’essence TIPP accroissent les inégalités relatives au revenu. Les revenus de la population active occupée proviennent d’abord du travail il détermine la formation des salaires compte tenu de l’hétérogénéité du facteur travail, le progrès technique et le développement de la concurrence internationale jouent également un rôle important dans la formation des salaires et des inégalités.

Les inégalités sociales demeurent :

-La pauvreté s’étend dans la population

-Vieillissement de la population

-Augmentation des prélèvements obligatoire qui peuvent être perçu comme dissuasifs

Il est important de savoir que la moitié de la population se partage 8 % du patrimoine L’ensemble des possessions des 50 % les plus pauvres ne représente que 8 % du patrimoine total, alors qu’à l’autre bout de l’échelle sociale, 1 % des Français les plus riches concentrent 17 % des richesses. Certains écarts sont énormes : la patronne de L’Oréal, Liliane Bettencourt, possède plus de 31,2 milliards d’euros, ce qui représente l’équivalent de 1,77 million d’années de salaire minimum (smic).

En conclusion nous pouvons observer qu’il y a toujours énormément d’inégalités en France, elles se sont réduit avec le temps mais elles sont encore énormément présentent dans la société, généralement lorsqu’il existe une inégalité celle-ci en crée une autre. Ce phénomène creuse d’avantage l’écart entre les plus riches et les plus pauvres.