La coopération dans le sport

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d’abord, la réduction des coûts. En diminuant les transports ou le temps de prise de décision, la collaboration représente un gain. Ensuite elle peut permettre un gain de temps au niveau des procédures ou de l’administration, lorsque les documents ont déjà existés dans le passé. La productivité est alors accéléré. Enfin, la coordination est à son maximum et l’entreprise peut gravir des échelons grâce à une collaboration efficace et productive.

Fédérer. Fédérer une équipe, c’est avant tout manager. Que ce soit en sport ou en entreprise, la construction de l’équipe est primordiale. Une hiérarchie doit être respecté ce qui facilitera les différents aspects dans le futur. Chaque personne a un rôle à jouer, et si la coordination est présente alors l’entreprise pourra se développer. Le manager, à n’importe quel niveau qu’il soit, a les clés du bon développement du groupe. Mais c’est à lui de bien s’en servir. Une équipe a pour premier but de se réunir pour atteindre un seul et même objectif. Ensemble, pas individuellement. Le rôle du manager est déterminant du point de vue de la cohésion du groupe. La coopération des individus va passer par la qualité d’approche du manager. La bonne entente et les liens qui en ressortiront passe par la gestion de l’équipe. Sur cette collaboration repose l’art de fédérer. Le manager a pour but d’annoncer des buts clairs et précis. Les composantes de l’équipe ne doivent faire face qu’à une seule chose : la logique. Si les individus sentent votre présence, que celle-ci est sincère, alors le bon développement des objectifs aura lieu. Une bonne ambiance est propice à de la productivité. Michel de Rovira et Augustin Paluel-Marmont sont les co-fondateurs de Michel et Augustin. Ils ont crée une société qui vend des produits comme des : petits sablés, « vaches à boire », fruits,… Ces deux jeunes fondateurs sont à la tête d’une véritable Success Story et sont les exemples parfaits d’une bonne coopération sur tous les fronts. Pour eux, l’esprit de l’entreprise repose sur trois critères : joyeux, naturel et sincère. Pour développer leur entreprise, et en tant que créateurs, ils ont pu choisir eux-mêmes les hommes avec qui ils souhaitaient travailler. Et cette étape, qui leur a été cher, a porté ces fruits. La confiance qui a été transmise dès les débuts de l’entreprise a permis l’essor que tout le monde connaît.

La coopération est présente dans le domaine professionnel mais aussi dans celui du sport. Nous pouvons la retrouver dans les sports collectifs mais également dans les sports individuels. Au niveau individuel, la coopération se remarque effectivement moins, mais elle est pourtant bien présente et peut-être même plus importante. Disons que dans une équipe de 11 joueurs, si un individu ne coopère pas, il en reste tout de même 10 sur le terrain, et plus en dehors. Dans un sport individuel, si la coopération n’a pas eu lieu, que ce soit avec le coach, ou autre, l’objectif sera très dur à atteindre. Si aucun lien n’a été tissé, parvenir à mettre certaines choses en place et les appliquer relève de l’impossible. De bonnes cohésions appuyées par un esprit remarquable et un travail permanant ont même réussi à marquer l’histoire.

II. Exemples de cohésions abouties dans le domaine sportif

Dans le sport collectif. Certains exemples montrent facilement l’importance de la coopération. Certaines surprises assez exceptionnelles ne font que l’illustrer. En 2004, lors de l’EURO de football au Portugal, une équipe fait sensation : la Grèce. Donner perdante sur la quasi totalité de ces matchs, elle parvient pourtant à remporter la compétition. Cela s’est expliqué en grande partie par la cohésion, la relation entre les différents joueurs et le lien établi avec le staff. C’est tout un groupe qui a coopéré. La Grèce affronte en phase finale le Portugal. Pourtant, tout est déjà écrit : le Portugal va être champion dans son pays. Alors qu’il accueille la compétition phare de l’année et qu’il réussit à se hisser en finale, personne ne peut l’empêcher d’aller au bout de son aventure. Mais il trouvera la Grèce sur son chemin, une équipe solidaire qui s’offre le trophée et fera longtemps parler d’elle. Malgré un effectif plus faible que les autres nations, d’autres aspects que la qualité techniques des joueurs sont entrés en jeu, et ont fait que l’esprit d’équipe et la coopération ont bouleversé tout sur leur chemin. Il en est de même le 19 septembre 2015, lorsque le Japon affronte l’Afrique du Sud lors de la coupe du monde de rugby. A cette période 10 nations règnent dans le monde. Elles sont divisées entre l’hémisphère nord et l’hémisphère sud. 6 nations européennes : France, Angleterre, Irlande, Pays de Galle, Ecosse, Italie ; et 4 nations du Sud : Argentine, Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, Australie. Le Japon ne constitue alors qu’une simple et faible nation de rugby. Le Japon est décrit par les journalistes du monde entier comme une équipe « médiocre ». Et pourtant… cette nation fera tomber le double champion du monde : l’Afrique du Sud. Sans un redoutable état d’esprit, et donc une coopération très forte, jamais ce scénario n’aurait vu le jour. Ce scénario, Calais, petite équipe de 4ème division (CFA) du championnat de football français, l’avait déjà effectué. Chaque année, la Coupe de France, compétition pour les équipes de football française qui regroupe à la fois le football amateur et le professionnel, est source de surprise. Mais en 2000, Calais surfe sur toute la compétition, est réussi l’exploit de se hisser jusqu’en finale. Mais ce n’est pas tout, alors en finale, poussé par toute une ville, Calais remporte le trophée et inscrit son nom au palmarès de la coupe française la plus prestigieuse.

Dans le sport individuel. Cette notion d’esprit d’équipe, de cohésion, et de coopération ressort moins. Elle y est pourtant présente comme évoqué précédemment. Voici quelques exemples qui prouvent qu’une bonne préparation est à l’origine de moment merveilleux dans le monde du sport. En 2009, Rafael Nadal se rend à Roland Garros en tant que ROI. Effectivement, joueur de tennis remarquable, il se rend à Paris en étant quadruple tenant du titre. 4ans que cet homme n’a pas perdu un match sur cette terre batue. Mais ce dimanche 31 mai ne se passa pas comme prévu. En face, il affronte Robin Soderling, un joueur qui ne fait pas parler de lui mais qui prépare au mieux son match. Battu il y a un mois 6-1/6-0 par ce même Rafael Nadal, il a analysé ce revers. Et c’est un énorme coup de tonnerre qui s’abat