L'Arrestation et aveux de Christian Ranucci
Par Ninoka • 9 Avril 2018 • 2 797 Mots (12 Pages) • 874 Vues
...
2 kilomètre du carrefour, dans une champignonnière, Mohamed Rahou, qui vit sur place, est sollicité par un jeune-homme afin de l’aider à dégager son véhicule, une Peugeot 304 Coupé, qui est embourbé à l’intérieur d’une galerie, La voiture porte des traces d’un accident, le propriétaire du véhicule dit s’être aventuré là, pour pique-niquer.
La découverte du Corps de Marie-Dolorès:
Mardi 4 Juin 1974, Le lendemain, 24 heures après la disparition de Marie-Dolorès, toujours aucunes nouvelles, Le visage de la petite fille est à la Une de tout les journaux quotidiens de Marseille.
Marseille est passé au crible, mais sans résultat. Les enquêteur faut alors un appel à témoin à la radio, en s’appuyant sur le témoignage du petit Jean. Ils sont à la recherche d’un Simca.
Le 5 Juillet, Vincent Martinez, le chauffeur accidenté au carrefour de la « pomme » a entendu la radio et ce dit que son accident a peut-être un rapport avec l’enlèvement. Il rappel alors les gendarme et change sa déposition. Il déclare cette fois-ci qu’un enfant a pu ce trouver a bord du coupé 304 Peugoet . Le couple Aubert, qui a pris en chasse le coupé , fait lui aussi le rapprochement avec l’enlèvement de la petite Rambla. Ces dernier affirme avoir vu le chauffeur s’enfuir avec un paquet dans les collines . Les policiers ont enfin une piste, ils se rendent donc au carrefour de «la pomme ». Tout le voisinage a été fouillé, y compris la champignonnière, et la, dans une galerie, les policiers découvre leur tout premier indice, « un pull-over rouge ». Ils le donnent a flairer à un chien, cet indice mène l’animal à quelques mètre d’un corps d’une petite fille caché par des broussailles. Elle porte des traces de coups de couteaux, sa description correspond bien a celle de Marie-Dolorès. Pour une identification formelle, les policiers amène Pierre Rambla, le père, jusqu’au corps, pour identifier sa fille. Malheureusement le corps trouvé est bien celui de Marie-Dolorès Rambla. Le père anéanti, est reconduit jusqu’à la voiture maintenu par les policiers.
L’arrestation et aveux de Christian Ranucci :
Pour les enquêteur, il n’y a plus qu’un seul suspect, c’est le propriétaire du coupé Peugeot immatriculé « 13 69 SG06 ». Ils décrète inutile de rechercher une Simca grise, peut un porte le témoignage du petit Jean, ils imaginent que Jean c’est peut-être tromper ou qu’il a mal vu.
Le propriétaire du coupé Peugeot, s’appelle Christian Ranci, il a 20 ans, c’est un représentant de commerce, Il habite a Nice. Ce dernier et rapidement interpellé à son domicile niçois, le 5 juin 1974 en fin d’après midi. Placé en garde à vue Christian Ranci reconnais l’accident mais nie le meurtre de Marie-Dolorès.
Une nuit passe, et Christian Ranci n’a toujours pas avouer. Il est transféré dans les locaux de l’évêché, le commissariat central de Marseille, ou le commissaire Alessandra décide de présenter le suspect aux deux témoins de l’enlèvement. Mais ni Jean Rambla, ni Eugene Spinelli ne reconnaissent l’homme. De plus, le véhicule de Christian Ranci ne correspond pas à la Simca 1100 reconnue par les deux témoins, et enfin, compte tenu de sa taille, le pull-over rouge découvert dans la champignonnière ne semble pas appartenir au suspect.
Mais la police joue une carte maîtresse, celle des témoins qui on poursuivi la voiture de Christian Ranucci après l’accident. Ce sont les époux Aubert, ces derniers sont convoqué a l’évêché, pour être confronté a Christian Ranucci. A 12 heures, Christian Ranucci est présenté au époux Aubert entouré de plusieurs inspecteur, comme le veux la procédure. Alin Aubert et son épouse sont incapable de le reconnaître. Puis 1 heure plus tard le commissaire Alessandra présente seul le suspect aux deux témoins de l’accident, et cette fois, ils parviennent à l’identifier.
Après 4 d’interrogatoire, ou les époux Aubert confronte Christian Ranucci, tout bascule.
Lorsque Monsieur Aubert prend la parole et s’adresse à Christian Ranucci en disant : « je vous est vu monsieur, c’est vous ! ». Dans l’après-midi du 6 juin, Christian Ranucci craque et passe aux aveux. Il avoue être l’auteur de l’enlèvement et de l’assassina de Marie-Dolorès. Il signe des aveux complet, et explique qu’il a tuer Marie-Dolorès dans un moment d’affolement à coup de couteau. Il dit avoir jeter le couteau dans un tas de fumier, prêt de la champignonnière. Effectivement le couteau qui a servis pour le meurtre de la fillette, est retrouvé après 2 heures de recherche dans un tas de fumier.
Incohérence dans les témoignages :
Pendant l’enquête, le témoignage de Monsieur et Madame Aubert, vont curieusement, beaucoup évoluer. Ces derniers vont changer leur récit a plusieurs reprise.
La première fois, ils racontent aux policiers, avoir vu un homme sortir de la voiture et s’enfoncer dans la foret en transportant avec lui un paquet volumineux. Le jour suivant, ils ajoutent une scène qu’ils n’avaient pas évoquer lors de leur première déposition. Ils racontent avoir parler au chauffeur en lui disant de revenir car l’accident n’était pas grave, donc inutile de prendre la fuite. Et puis, 1 heure plus tard, dans une 3eme déposition, ils ce souviennent tout d’un coup que l’homme leur a répondu, et surtout, que le paquet volumineux que l’homme transportait ce s’avère être un enfant portant un short de couleur blanc.
Cela fais beaucoup de changement de témoignage en très peu de temps.
De plus, la première fois que les époux Aubert ont été confronté a Christian Ranucci, il était au milieu de quatre policiers, cela s’appelle un tapissage, et ils ne l’on pas reconnu.
Ce qui fais beaucoup d’incohérence dans les dires de témoins qui vont énormément compté dans cette affaire. Mais peut importante, Christian Ranucci a avouer, et pour beaucoup de personne, il doit payer.
L’avocat
La mère de Christian Ranucci est convoqué par les policiers à l’évêché. Elle
...