Gestion des ressources humaines
Par Ninoka • 6 Mai 2018 • 2 813 Mots (12 Pages) • 442 Vues
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Plusieurs caractérisques sont négocier entre les deux parties et sont incrites dans la convention collective. Elle comprend les conditions de travail des employés qui sont des clauses normatives(avantages sociaux, salaires, durée du travail, etc.) mais également des clauses contractuelles. Celles-ci conditionne les rapports mutuels entre le syndicat et l’employeur. La durée et renouvellement de la convention collective en fait donc partie.
Lorsqu’il y a litige entre le syndicat et l’employeur plusieurs gestes sont posé afin de faire pression et gagner son point. Toutefois, ce n’est pas tous les moyens de pression qui sont possible. Par exemple, dans les secteurs public il est primordial de garder les services offert donc les lock-out sont interdit et les options de grèves assez limité. C’est présentement le cas avec les pompiers de la ville de Montréal et les policiers. Plusieurs camions de pompiers ont été peint en noir et les voitures des policiers sont remplies de collant. C’est des méthodes qu’ils ont décidé d’utiliser pour faire pression envers leur employeur, la ville de Montréal. L’ouverture de l’employeur face au syndicats donnera un bon indice de la stratégie qu’il aura par la suite. S’il fait preuve d’ouverture et souhaite entretenir de bon rapports collectifs il usera de la stratégie d’acceptation. Des dirigeants d’entreprise non-syndiqué use de la stratégie de résistance en donnant de bon avantages à leurs salariés afin qu’il ne se syndique pas. D’autres comme l’a fait walmart, même aller jusqu’à fermer un magasin afin qu’il n’y ai pas de syndicalisation. Cette statégie ce nomme l’élimination. La stratégie de substitution fait en sorte d’éviter le syndicat en donnant d’autres moyens d’agir à leurs salariés.
Document et site internet consulté
:http://www.stat.gouv.qc.ca/docs-hmi/statistiques/travail-remuneration/presence-syndicale/couverture_syndicale_qc-canada-ocde.pdf http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201406/30/01-4780012-plus-de-travailleurs-touches-par-les-conflits-de-travail-en-2013.php http://www.bdso.gouv.qc.ca/docsken/multimedia/PB01500FR_arret_travail2012A00F01.pdf
http://www.jobboom.com/carriere/moins-de-conflits-de-travail-au-quebec/ http://www.statcan.gc.ca/pub/75-001-x/2011004/article/11579-fra.htm https://www.travail.gouv.qc.ca/fileadmin/fichiers/Documents/presence_syndicale/pres_synd201pdf http://www.stat.gouv.qc.ca/statistiques/travail-remuneration/bulletins/flash-info-200909.pdf#page=8
Deuxième partie :
Étape 1 :
La gestion des rapports collectifs au sein des milieux de travail au Québec défini le fait de gérer plusieurs individus qui travaillent pour le même établissement et sous la même règlementation, c’est-à-dire une convention collective. Ces salariés évoluent sous le même contrat de travail qui a d’abord été convenu par deux acteurs principaux notamment l’employeur et le syndicat. Celui-ci désigne un regroupement de personne qui représente les salariés et défends leurs intérêts.
Une bonne gestion des rapports collectifs est primordiale pour le fonctionnement d’une organisation. Un climat agréable et une bonne entente repousse les conflits qui eux, peuvent être couteux tant pour les employés que l’employeur. En ayant un syndicat et de l’écoute, les employés peuvent tenter par des méthodes douces et sans retombé négative de se faire entendre par leur employeur et d’améliorer leurs conditions de travail, lorsqu’ils éprouvent une insatisfaction. S’il y a une bonne gestion des rapports collectifs, la mésentente peut alors se régler sans dommage. Dans le cas contraire, ces deux acteurs pourraient être touchés d’une quelconque façon. Par exemple, les employés mécontents d’une compagnie manufacturière pourraient arrêter la production et par le fait même, faire perdre des contrats à l’entreprise. Celle-ci se verrait par la suite dans l’obligation de mettre des gens sur le chômage.
La convention collective comporte de nombreuses clauses et information en lien avec les activités de gestion des ressources humaines. Une convention claire facilitera le travail des gestionnaires et évitera des malentendus pour plusieurs de ces activités. Par exemple, il ne peut y avoir de contestation au niveau de la rémunération si une échelle salariale a déjà été fixée dans la convention collective. Des futurs employés prometteurs pourraient également être attirés par une convention collective qui comporte de nombreux avantages sociaux. Les travailleurs ne regardent pas seulement l’aspect salarial, ils veulent d’autres avantages sociaux et être heureux à l’endroit où il passe une grande partie de leurs temps. De la flexibilité dans leur horaire de travail afin de concilier le travail et la famille en est un exemple. Un palmarès publié depuis de nombreuses années fait la liste des meilleurs employeurs. Il exprime l’importance d’un bon environnement de travail autant pour l’organisation que ces effectifs. Des salariés heureux seront plus mobilisés et travailleront encore plus fort pour la pérennité de l’entreprise.
Des rapports collectifs sein apportent du positif à tous mais pour l’organisation elle est cruciale car elle favorise la continuité de ses services évites des coûts inhérents aux conflits de travail et établir un climat propice à de bonnes relations de travail. Lorsqu’il est possible de régler un problème avant qu’il ne prenne du volume, les répercussions sont souvent moindres. Dans un cas ou la résolution du problème se présente après un simple grief et qu’aucun arrêt de travail a eu lieu, l’organisation a été capable de maintenir ses services comme à son habitude. Comme expliqué précédemment, les conflits amènent avec eux des coûts qui peuvent faire mal à l’organisation. Les grèves ont démontrés par le passé qu’elles nuisent dans tous les types d’entreprises. En 2013, pendant la grève de la construction, les intervenants indiquait qu’ils évaluaient les pertes par jour à des dizaines de millions. (http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201306/18/01-4662355-construction-en-greve-des-millions-perdus-chaque-jour.php)
Comme ils se doivent de travailler en collaboration, il est important que la direction et le syndicat se créer un climat propice pour le faire. De bonnes relations de travail passe par une communication claire et de la confiance. Pendant les périodes de négociation ils devront faire face à des murs et les traverser ensemble car même s’il serait facile de croire qu’ils sont dans des équipes distinctes,
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