Choisit-on d'être ce que l'on est?
Par Ninoka • 31 Janvier 2018 • 978 Mots (4 Pages) • 555 Vues
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c’est grâce à cela que nous créons notre futur, notre vie. De même, nous sommes les dirigeants de notre avenir et en l’occurrence de ce que nous sommes.
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Et si tout ceci n’est qu’illusion? Et si en réalité, nous ne sommes que des marionnettes de la société? Notre univers, notre histoire est écrite dès notre plus jeune âge. En effet, nous recevons une éducation plus ou moins correcte (mais ce n’est pas le sujet traité) par nos parents, par les professeurs ou par Madame Dumont, la gentille nourrice qui nous donnait des cookies quand on était sages. Ainsi, l’éducation aurait alors une qualité de modérer nos envies. Celle serait alors le guide de notre façon de se comporter publiquement ou de raisonner nous même. Elle influencerait dans la majeure partie du temps notre état d’âme. Nos actes seraient nuancés contre notre gré et par l’idéal conforme aux règles de nos parents ou quelque soit la forme d’autorité qui influe sur notre éducation. Par exemple, simplement nous conformer aux bonnes manières, à un bon rythme de vie ou a un bon niveau de langage. Cela nous permet de nous intégrer à la société. Selon Freud, l’Homme ne peut jamais être totalement libre, l’inconscient détermine une partie de ces actions. En parlant d’intégration, l’Homme inconsciemment cherchera toujours à plaire et à être fidèle aux idéaux de la société. En effet, il est influencé de manière indirecte par les pressions sociales ou le regard des autres.
De même, si l’on regarde plus loin dans la société, nos choix ou nos préférences sont dictées par ce que l’on nous donne. Parfois le hasard fait la part des choses, mais on ne compte pas sur lui quand on est censé. La personnalité peut entrer en temps que facteur principal puisque le milieu ou l’endroit d’où l"on à été éduqué module le caractère. De même, les articles de presse, par exemple, nous font lire ce qu’ils veulent que nous "absorbons", ce que la société souhaite. Il en est de même pour les livres que l’on nous impose. En effet, on peut illustrer la phrase précédente par les livres que le système scolaire nous donne ou encore ce que nos parents nous mettent à disposition. Nos choix sont donc des faits préconçus sélectionnés par une forme supérieure a la notre. Une action faite par devoir peut être une alternative à la volonté de la société. D’après Kant, c"est en agissant par devoir que l’on éprouve le plus de liberté aussi paradoxal que cela puisse être. En somme, nous nous forgeons sur des attributs donnés, pensés pour nous endoctriner dans un sens. En effet, malgré l’illusion nous sommes manipulés.
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Conclusion
Pour conclure, nous nous demandions si l’on choisit d’être ce que l’on est, la réponse peut sembler évidente, oui nous choisissons car même si on nous sélectionne quelques choses, le reste, mes propres réflexions, je les choisit!
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