Ce n’est pas le doute, c’est la certitude qui rend fou », Friedrich Nietzsche.

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Ensuite, douter de tout peut vite constituer une source de problèmes. Á force de douter de tout, nous ne pouvons construire de repère. Si nous n’avons pas de repère, nous aurons du mal à trouver notre place dans cette société qui nous pousse à croire sans trop réfléchir. Les journaux utilisent cette méthode pour nous faire passer des informations, qu’elles soient vraies ou pas. Ils nous montrent toujours un côté du problème, notre vision du problème.

On (éviter les “on”) ne peut pas réclamer une preuve pour tout, sans quoi nous nous condamnons à une régression à l’infini. Il vient un moment où l’on (éviter les “on”)doit, sans doute, renoncer à s’interroger, si l’on (éviter les “on”)veut commencer à croire ou à penser quelque chose.

Le doute provoque en nous la méfiance, l’incertitude, bref, ce qui nous était clair devient opaque, mystérieux, étranger. Le doute concernant la vérité nous force la main, il nous oblige à renoncer à celle-ci. Comment connaître le vrai si je doute de son existence, si je doute des moyens pour l’obtenir ? Tout cela pourrait nous créer des problèmes.

Néanmoins, douter c'est aussi savoir se remettre en question. Je doute au lieu de faire une confiance aveugle, j'exerce mon esprit critique. Si nous doutons, ce n’est pas pour discréditer la vérité, mais c’est au contraire pour mieux l’établir.

Douter est une bonne chose. Douter veut dire que l’on remet en question. Cette remise en question peut être utile dans certains domaine tels que la médecine. Ce doute va nous pousser à continuer à chercher des remèdes contre des maladies. Même si nous possédons déjà un vaccin contre une maladie, le doute va nous permettre de se demander s’il n’apportera pas d’effets secondaires, s’il y a moyen que ce vaccin sauve un jour des vies.

Le doute est utile dans la connaissance. Le doute sert à affirmer en effectuant des recherche une vérité que nous ne croyons pas possible. Cette recherche nous apportera donc la certitude. Nous pouvons donc dire que la certitude vient d’un doute et que donc pour être sûr de quelque chose, il a d’abord fallu douter de cette chose.

Si la certitude permet à l’homme d’agir, le doute lui permet de révolutionner ce qui est déjà acquis. Prenons l’exemple de nos téléphones portables qui sont toujours plus fin et plus léger. Un jour, un homme a dû se demander s’il était possible d’en créer de plus fin et plus léger afin de pouvoir le faire.

Nous pouvons donc en conclure qu’être sûr de soi est une bonne et une mauvaise chose. Premièrement, cela pourrait être une mauvaise chose car elle nous enfermerait dans un prison qui créerait une solitude. Ne pas douter pourrait créer de grand malheur tel que les deux Guerres Mondiales et toutes les autres guerres. Le doute possède aussi des bienfaits que l’assurance ne possède pas. Il nous permet de développer un esprit critique. La certitude peut tout aussi bien amener au fanatisme et à l’obsession qui ne serait pas directement compris par les autres personnes.

Deuxièmement, nous avons vu que douter peut devenir une source de problèmes. Le doute pourrait nous empêcher de trouver notre place dans la société. En doutant, nous perdons notre confiance et il nous est donc impossible de continuer à avancer. Le doute peut aussi créer la méfiance et l’incertitude.

Dernièrement, le doute c’est savoir se remettre en question, savoir exercer son esprit critique. En doutant, nous donnons un sens à une vérité. Douter c’est aussi remettre en question et qui pourrait donc provoquer des avancées dans certains domaines tel que la médecine.

Quoi qu’il arrive, le doute est présent à partir du moment où nous avons à faire des choix. Finalement, le doute n’est-il pas aussi mauvais que la certitude?