La fondation Louis Vuitton

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panneaux est doté d’une double courbure à la fois verticale et horizontale réaliser grâce à un fou spécifiquement conçue pour ce bâtiment. Ces voiles qui sembles gonflées par le vent renvoies à l’image du voilier Suzanne une des source d’inspiration de l’architecte. En observant les voiles sous différents angles on peut remarqué que le verre selon son orientation et la lumière qui l’attint peut tour à tour laisser apparaitre le corps du bâtiment appelé iceberg ou refléter son environnement , le ciel et les nuages. Cet effet de miroirs est rendu possible grâce à l’impression d’une multitude de point blanc entre les deux feuilles de verres de chaque panneau. Ce procédé appelé sérigraphie qui donne une relative opacité au verre.

Pour pouvoir nettoyer ces grandes voiles de verres on utilise une équipe d’alpiniste professionnel qui grasse a des trous fait une peu partout sur les terrasses grimpe et nettoient le bâtiment en six mois c’est pour cela que cette tache n’est faite que deux fois par ans.

Ce qu’on remarque aussi en allant à la fondation est que en différence de Paris ou normalement il y a beaucoup d’agitation ou de pigeons. L’emplacement de la fondation est calmes et il n’y a pas de pigeon on nous alors expliqué que pour ne pas avoir a nettoyé tout le temps il y avait deux solutions pour faire fuir les pigeons.

La première était d’utiliser les ultrasons mais à cause animaux du jardin d’acclimatation cette solution n’était pas envisageable. Il on donc choisis la manière naturel et font venir tout les deux jours des fauconniers qui laisse leurs aigles volé au dessous de la fondation effrayant ainsi les pigeons.

III- Le bâtiment dans son environnement

L’inspiration de Frank Gehry c’est faite quand il a visité le jardin et découvert un site exceptionnel chargé d’histoire. Il imagine alors une architecture de verre inspirée par le Grand Palais.

Inauguré en 1960 le jardin d’acclimatation est avec les bois de Boulogne et de Vincennes le parc des Buttes de Chaumont et du parc monceau l’un des grands espaces vert crées au second empire afin d’offrir aux parisiens de lieu de promenade.

A l’origine comme l’évoque son nom le jardin présentait aux promeneurs une grande diversité de plantes et d’animaux exotiques notamment au sin d’un palmarium et d’une volière et d’un aquarium. De cette période ou subsistait le rochet au daims le kiosque le pigeonnier et la grande voilière.

Les créateurs originels du jardin l’ingénieur Jean-Charles Alphand (1817-1891), l’architecte Gabriel Davioud (1824-1881) et le paysagiste Jean-Pierre Barillet-Deschamps (1824-1873)

Ont privilégié le dessin de longues allées sinueuses qui n’offrent pas de grandes perspectives à la différence des avenues haussmanniennes. Grace a cette aménagement le bâtiment ne s’offre que partiellement a notre vu seul la clairière permet d’appréhender une vue d’ensemble de l’édifice. En ce rendant sur les terrasses de la fondation on découvre 3 jardin suspendu composé de fougères arborescentes de cerisiers d’érables et de chênes bambou, des jardin protégés par les voiles de verre, qui revoit à l’exotisme du jardin du 19° siècle.

IIII- Les différents œuvres

Et comme vous avez pu le voir sur ces photos le bâtiment n’est plus blanc mais multicolores montrant bien que le bâtiment est une œuvre en elle même. C’est l’œuvre de l’artiste français Daniel Buren intitulée « l’observation de la lumière ». Les 3600 panneaux de verre sont recouverts en quinconce par des filtres colorés ponctués par des bandes alternativement blanches et vides. Ce qui permet par un jeu de projections de reflets de transparences et de contrastes de faire apparaitre et disparaitre des formes colorées toujours changeantes sans cesse mouvantes selon la météo les heures et les saisons.

Et en ce moment même à la fondation Louis Vuitton se trouve une sélection d’œuvres d’artistes chinois issues de sa collection très intéressante