La BD est-elle une bonne lecture pour les jeunes ?

...

que la bande dessinée est plus proche du cinéma que de la littérature car elle associe l’image au langage contrairement au livre qui lui suscite plus l’imaginaire que le visuel. Tel que expliqué dans la définition de la littérature : la littérature au sens technique signifie « chose écrite » ou « savoir tiré des livres ». Ce qui confirme que la BD ne peux pas être une bonne lecture puisque elle n’entre pas dans la définition de la littérature. D’autres encore considèrent la BD comme un sous-genre de la littérature, ou un art mineur comparativement à la peinture, et exclusivement destiné aux enfants.

A la question: la BD est elle une bonne lecture pour les jeunes ? Il n’existe pas de réponse toute faite, la question est complexe, de plus qui peut réellement juger de cela ? Les éditeurs qui n’ont pour but que d’augmenter leurs profits ou les auteurs de livres qui voient leurs ventes chuter face à celle de la BD ? Toutes ces personnes de références ne sont pas objectives car elles trouvent un avantage ou un désavantage certain à la bande dessinée, leurs ventes sont en augmentation ou au contraire l’ augmentation du nombre de vente de BD chez les jeunes fait dégringoler celle du livre. Pour répondre à cette question il faut observer les jeunes dans les écoles et voir si la bande dessinée apporte réellement quelque chose à l’apprentissage de la littérature, si elle est un tremplin vers des œuvres littéraires ou si au contraire elle est un poids mort qui entraîne les jeunes dans une abîme de non lecture. Mais encore faut-t-il pouvoir observer ce fait, une majorité de professeurs de littérature sont très souvent opposé à la BD car il sont de « la vieille école » ce qui contraste avec les professeurs qui essayent une nouvelle méthode, de laquelle les résultats ne sont pas encore clairement visibles. Les professeurs appliquant une méthode plus classique passe du livre pour enfants, à la littérature sans aucune transition ; méthode bien plus difficile que de créer une pente douce en démarrant du livre pour enfants puis en passant par la BD, ensuite des livres avec les mêmes thèmes que la BD pour finalement arriver à la littérature. Cette dernière méthode semble beaucoup plus propice aux attentes actuelles des élèves qui suivent l’enseignement d’aujourd’hui.

Références :- Ricochet jeunes

- Le parisien

- Le figaro.fr

- Duc.l’art de la BD

- Prof.de.francais.forumactif.com

- Dictionnaire le petit Larousse

(1) Grandir avec Nathan. Com

(2) Natacha polony, « les jeunes lisent »ou le prototype de l’escroquerie