Explication de texte Rousseau

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est celui de l’homme dans son état naturel. Il met en avant seulement les besoins nécessaires, seuls eux on besoins d ‘être servis (école épicurienne). Toutes les facultés qui sont en lui (conscience, intelligence, imagination, sentiments, ses facultés) sont « au fond de son âme », car si le danger n’est pas présent ou que des situations inhabituelles ne se présentent pas, il reste dans son état normal, il ne peut pas imaginer. L’homme ne cherche pas à se créer des craintes imaginaires, il ne pense pas forcément à sa mort ou tout ce qui pourrait lui arriver de mal, il vit au jour le jour. Ensuite il dit aussi que la perfectibilité n’est pas forcément un avantage et qu’elle ne rend pas forcément plus heureux.

Ensuite l’imagination arrive, c’est une faculté des plus active qui peux créer des désirs inavouable ou irréalisable, c’est la liberté d’esprit qui s’exprime, cela créer des fantasmes, des rêves et plus particulièrement des désirs. Sans l’imagination, l’homme ne pourrait pas avancer, elle est le fruit de nouvelles créations. L’imagination active la création humaine. Imaginer c’est une grande puissance qui nourrit le bonheur, elle donne de l’énergie, grâce a elle, la route vers le bonheur est accessible

Mais l’espoir aussi entre en jeu, l’auteur dit que l’espoir c’est la fait de reporter à demain dans l’imagination et donc ne pas être heureux dans le présent. L’espoir crée la déception, la désillusion, donc a cause de ce facteur la, le bonheur peut être moins accessible. Plus nous jouissons de réussir de nos désirs qui sont pas possible plus le bonheur s’éloigne.

Dans une troisième partie, l’auteur conclut en expliquant sa thèse, plus l’écart entre les désirs et la facultés est petit plus il est possible d’être heureux. Il nous fait en quelque sorte une morale sur le fait de désirer des choses qui ne sont pas nécessaires, la misère n’est pas le fait de se priver de certaine chose mais plutôt dans le besoins qu’il s’en fait sentir. Mais quelle est la définition de misère dans ce cas la : c’est un état marquer par une grande insuffisance, une grand manque dans le domaine sociale, psychologique, ect.. Le but de la sagesse c’est donc de trouver un juste milieu entre les deux, ainsi après avoir obtenue une certaine sagesse, la route du bonheur est accessible. Ici l’auteur fait preuve d’une grande sagesse dans sa vision des choses, et je pense qu’il as donc trouver la route vers le bonheur, c’est la raison pour laquelle il a écrit se texte.

Seul l’équilibre entre pouvoir et désir, ou puissance et volonté peut rendre un homme sage, ce qui le guiderait vers la route du bonheur, comme le suggère l’auteur dans son texte. En effet il semble définir la route du vraie bonheur, et comment y parvenir. Le bonheur est dans le développement dans l’équilibre entre imagination et réel, et il faut aussi ne pas se laisser envahir par l’espoir qui lui coupe toute accessibilité a cette route, elle crée le désespoir, la désillusion. Pour conclure, tout homme est perfectible et l’auteur dit que ce n’est qu’en prenant le risque du progrès que l’homme peut parvenir à lui même, qui excèdera toujours de ce qu’il est devenue.