Descartes et Tocqueville
Par Matt • 22 Avril 2018 • 937 Mots (4 Pages) • 664 Vues
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- Dans toute la tradition philosophique depuis les Grecs, on s’entendait pour dire que l’homme se définissait comme un «animal raisonnable». Suite à votre lecture des Méditations (Recueil pages 180-181), dites ce que vous pensez du traitement que Descartes réserve à cette définition séculaire : ses raisons de la rejeter sont-elles convaincantes ? A-t-il vraiment quelque chose de mieux à proposer ? Sa réponse à la question « qui suis-je?» est-elle conciliable avec ce qu’il dit dans son traité de L’homme (Recueil pages 181-182) sur les deux natures qui «doivent être jointes et unies, pour composer les hommes qui nous ressemblent»?
Selon moi je ne suis pas en accord à ce que crois Descartes sur le fait que nous somme seulement sur que nous somme une chose qui pense. Ça raison est faible pour ne pas savoir qui nous somme… il considère comme vrai et n’admet que cela, certes, mais ce n’est pas parce que nous ne connaissons pas cette vérité de nos jours que cela est faux, l’inconnu n’est ni faux ni vrai, comment peut -il affirmer que nous ne sommes rien d’autre que simplement une chose qui pense ? Nous sommons autre chose assurément mais la question ici reviens, quoi ? Mais il est sûr que nous ne sommes pas seulement une chose qui pense, la définition est faible et cela me rend perplexe face à ce raisonnement qui réduit l’humain seulement à une âme. Comme bacon la déjà dit : « Celui qui dit ce qu’il sait, dit aussi ce qu’il ignore. » ici, Descartes, sans attaquer, montre seulement la moitié de ses cartes, il ne dit pas ce qu’il ignore et selon moi, la réponse à nos questions est bien plus dans ce qu’il et nous ignorons que dans ce qu’il sait. Il n’a pas vraiment de quoi mieux à nous proposer.
De plus, ça réponse n’est pas conciliable avec son texte L’homme, il dit que l’âme et le corps sont deux nature qui doivent être jointe et unis. Dans un texte il présente une opinion qui montre le corps comme une seule âme et dans un second texte il lie corps et âme et les présentes indissociables.
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