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Terrorisme et anti-terrorisme

Par   •  27 Novembre 2018  •  2 536 Mots (11 Pages)  •  709 Vues

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Au sein des pays groupes spéciaux d'interventions : → Le RAID (Recherche, assistance, intervention, dissuasion) a pour mission de lutter contre le grand banditisme et le terrorisme ; il dépend de la police.

- Le GIGN (Groupement d'intervention de la gendarmerie nationale) est l'équivalent du RAID chez les gendarmes.

→ lead agency

→ création des services spéciaux → sous direction anti-terroriste »

II-Violence symbolique :

A- Des stratégies anticipatives qui passe par un contrôle total

→ renseignement

L'anticipation du moindre événement est devenu une priorité surtout après le 11 septembre aux USA

→ Les stratégie évolue par la modernité → dvpt des premiers réseaux mais aussi par le développement d'un nouveau terrorisme

→ passe d'un terrorisme de guérilla dans un pays à une internationalisation

→ National security act de 1947 : premier terroriste sont l'URSS et ils sont également les maîtres de toutes formes de terrorisme dans le monde. → théorie du fil rouge

→ mettre un terme aux luttes inter-service entre la navy + doter l'administration américaine d'un système de renseignement centralisé

→ US air force, us army et navy

→ CIA sécurité extérieur (crée par le NS act) et FBI sécurité interne

politique dissuasive car les armée ne doivent être qu'en cas d'urgence, l'objectif est de ne jamis s'en servir tout en les préparant.

→ goldwater nichols act →

ère dromosphérique

La Guerre Froide repère

bTracabilité

B- Radicalisation et lutte contre la radicalisation :

1- Radicalisation comme outil du terrorisme

Le terrorisme a besoin de posséder un réseau de personnes dans les états afin de pouvoir enclencher des attaques mais également pour pouvoir continuer les guerres qu'elle mène au sein des pays qui ont vu naître les groupuscules. Par exemple, l’État Islamique a besoin donc à la fois de grossir les rangs djihadiste afin de faire la guerre contre les forces syriennes et irakiennes pour pouvoir conquérir du terrain. Pour cela, ils appliquent une violence psychologique en jouant sur les faiblesses de jeunes populations afin de les endoctriner. Elle représente aujourd'hui 20% des personnes radicalisés et environ 1600 jeunes dont 30% de femmes Ce sont des populations qui ont l'impression d'être de laissés pour compte de la société comme on peut le voir en France. Les stratégie du terrorisme afin d'y arriver se nourrissent des mutations technologiques. Ainsi internet et les réseaux sociaux sont leur plus grand moyen pour endoctriner des personnes totalement extérieur au milieu islamique radical par les vidéo de propagande laissant comme vision l'idée d'un paradis à la clé. Elle se fait en 4 phases. On hameçonne les jeunes par des vidéos traitant de théorie du complots, en mettant la société occidental à mal pour créer l'injustice du jeune. Puis petit à petit, avec le fil d'actualité you tube, le jeune va être amener à voir de plus en plus de vidéo puis va s'inscrire sur des pages facebook et on va subtilement amener l'idée du djihad. Les recruteurs font du cas par cas pour cibler les faiblesses . Il y a une dimension de séduction en parallèle d'un processus d'isolement afin qu'ils s'éloignent de ces proches afin d'être les seuls à pouvoir les conseiller. L’anthropologue Dounia Bouzar, l'ancien négociateur en chef du RAID, Christophe Caupenne et l’éducateur Sulaymân Valsanse, ont réussi à mettre en évidence le processus d’endoctrinement et d’embrigadement subi par ces jeunes.

Dans leur introduction, les auteurs précisent : "La subtilité et la force des groupuscules radicaux consistent à persuader musulmans et non-musulmans qu’ils ne font que revenir à la source de l’Islam. Leurs membres se présentent comme de simples « littéralistes », prônant la lecture « à la lettre » du texte. Leur autorité et leur légitimité reposent sur leur prétention à être « fidèles au vrai Islam », ce qui leur permet de revendiquer, au même titre que les autres croyants, le droit à la « liberté de conscience », garantie par les sociétés démocratiques." → à mettre sur un des diapos.

2- Une lutte contre la radicalisation pour désamorcer cette arme du terrorisme

En effet, la police judiciaires de la jeunesse, affilié à la lutte antitérroriste décrit les raisons des départs au djihad pour les jeunes dont ceux qui sont animés par des motivations violentes mais non religieuse en opposition au gouvernement et au monde occidentale. On compte également des jeunes en quête de sens à leur vie qui ont vécu une situation familiale compliqué et ceux qui sont en prise d'une problématique familiale. C'est à dire des jeunes confrontés au départ de l'un de leur proche au djihad et dont il faut suivre l'exemple. Les mineurs qui sont face à une quête affective. Enfin, on constate la présence de jeunes à problèmes psychiatriques qui résultent d'une paranoïa ou d'une conduite suicidaire. Afin de lutter contre ces radicalisations qui surviennent de plus en plus en France après les attentats de Charlie Hebdo en janvier 2015, le gouvernement a adopté un plan le 23 avril 2015. Ce plan comporte 3 axes majeurs, on trouve dans un premier temps la création d'une ligne téléphonique du Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation oour aider les personnes qui pensent que l'un de leur proche bascule. Elle prodigue des conseils mais elle oriente vers une structure d'information et de professionnelle.

→ – la mise en place de cellules territoriales de suivid ans les préfectures. Composées d’interlocuteurs spécialisés (assistant social, psychologue, éduca-t eur), elles mettent en œuvre un suivi personnalisé,adapté à chaque situation;

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