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Exposé ecrit de « Va pour treize ! »

Par   •  22 Mars 2018  •  2 011 Mots (9 Pages)  •  441 Vues

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Sur le sujet des treize desserts, les provençaux pensent qu’il toujours existe les treize desserts mais chaque personne peut donner la reponse différente sur ces noms et le nombre. C’est un coutume avec sa variabilité sans un règle standard pour unifier. Certains éléments de la nature influencent la forme d’un standard, par exemple, la topogaphie variante affecte la culture diététique. Sous l’angle de la culture et l’histoire, la réligion et la manque de communication peut forme le pluralisme de diététique. Certain cite les éléments pour hiérarchiser : on doit diviser les dessert obligatoires, desserts signalés, spécialités, dessert discutés et et enfin desserts prohibes.. Mais nous ne pouvons pas diviser certain celui-ci est bon ou certain celui-là est mal. Donc, c’est la difficulté d’établir une liste des treize dessert et fait tout le monde content.

La forme d’une cuisine ( ou un système de dessert ) est inséparables avec sa longue histoire et les caractéristiques de cuisine unique. En même temps, cette zone est également affectée par la condition naturelle, les ressource, la spécialité, les habitudes alimentaires géographiques et climatiques.

Comparé avec la division de la cuisine chinoise, c’est plus systèmique. Les cuisines régionales chinoises sont variés selon les différentes provinces et préfectures de la Chine.

Un certain nombre de styles différents contribuent à la cuisine chinoise, mais peut-être le plus connu et le plus influent est la cuisine cantonaise, la cuisine du Shandong, la cuisine du Jiangsu (spécifiquement de Huaiyang) et de la cuisine du Sichuan. Ces styles se distinguent les uns des autres en raison dee facteurs des ressources, du climat, de la géographie, de l'histoire, des techniques de cuisine et du mode de vie. Un style peut exceller dans l'utilisation de beaucoup d'ail et des échalotes, plus beaucoup de piment et les épices, tandis qu'un autre peut favoriser la préparation de fruits de mer sur d'autres viandes et volailles.

- Des éléments attestés dans l’histoire dès le XVIIe siècle

Depuis la fin du VXIIe siècle, il a apparu les descriptions de l’ habitude pour la fête de Noêl en Provence. En 1683, Explication des usages et coutumes des marseillais écrit par un prêtre de l’église de marseille, F.Marchetti, est devenu la première document pour la coutume de fête de Noël en Provence. Il nous donne une liste de matérieux du menu de cette fête. A cette époque, les provençaux ont commmencé à utiliser les fruits : les pommes, raisins, figues, dattes, noix, amande et « autres semblable fruites composent le repas devant Noël. On peut savoir la provenance des treize desserts. Et puis Marchetti mentionne « symbole de pain », et il cite qu’il y a les treize pais parmi eux, les douze représentent les douze apôtres et un représentant le saigneur.

Ensuite après presque cent ans, entre 1783 et 1787, l’essayiste decrit les desserts caractèristiques. Entre 1821 et 1826, Villeneuve cite le terme du « gros soupé », dans son article, le pompe fait partie dans la fête aussi. Jusqu’au debut du XIXe siècle, dans le domaine de recit, les écrivains decrit la mode de vie du peuple en Provence et ne limité dans la region marseillaise, c’est-à-dire que les personnes qui fait lee recherche sur la culture ouvrent des horizons nouveaux dans une plus grand terroir.

En 1901, Le Félibrige est né. C’est une association qui a objet pour la sauvegarde et la promotion de la langue, la culture et de tout ce qui constitue l'identité des pays de langue d'oc. Cette école s’applique à identifier la culture du Noël provençal et crée une grande nombreuse d’oeuves dans ce domaine. Çela promouvoit la communication de culture provençale. Les peuple provençal peut connaître les connaissances de sa region plus claires et plus systèmiques. Donc, La provence devenir creuset de civilisations méditerranéenne.

Et après, beaucoup d’oeuvres dans la littérature et jouraux commence à mémoriser l’histoire et la culture du Noël. Jusqu’aujourd’hui, les journaux et les revues publient les articles à l’égard de la veillée calendale provençale pour protèger cette tradition.

Avec le développement de faire de la propagande de la tradition provençale. Il est importante qu’il promouvoit le mouvement culturel régionaliste voire le fait sacraliser.

- La codification d’une tradition

Avec l’attention à la tradition de Noël en Provence, « les treize desserts » comme le modèle de la tradition régionale se dirige sur une codification. Dans des années 20, on decouvre la première évidence de la coutume des treize desserts. De 1907 à 1934, les cherchereurs persister ces desserts et reposer sur un inventaire de limiter les fruit qui utilise dans le Noël en Provence.

En 1926, M. Gasquet propose qu’il faut « treize assiettes de friandises ». et après, au début des années 30, le Musée du Terroir marseillais consititue une salle au repas de la veillée calendale. Ce repas revient au état primitif réellement. Et il affiche la vraie scène de la fête de Noël en Provence aux personnes. Cela peut bien diffuser la tradition et laisser plus de personnes savoir cette tradition régionale.

Pour « les treize desserts » , en 1946, le chroniqueur de l’Armana Prouvençau, Tounin Virolaste, il s’interroge sur l’origine de la coutume. En 1946, il est sûr de affirme « Va pour treize !» il marche ver une codification depuis ce siècle. Aujourd’hui, les treize desserts devient une symbole de la Provence et ajoute dans le folkore. Il forme une systematisation dans la culture de Provence, C’est aussi un heritage immatérial de Provence.

Conclusion :

« les treize desserts », une tradition diététique de la Provence, associé avec l’histoire de la culture provençale, attache l’importance à l’innovation. Il forme et ajoute des choses nouvelles pour convenir dans l’environnement changeable. On peut commprendre bien que la culture doit être dynamique. Avec le changement de la sociéte, les personnes faites son choix et la tradition doit adapter au présent. Au total, en face de la conservation et la transmission de la culture, il faut s’enraciner au présent.

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