Le bonheur : Marchandisation ou quête métaphysique?
Par Ramy • 28 Mai 2018 • 776 Mots (4 Pages) • 486 Vues
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Tout ceci, m’amène a croire qu’il ne peut pas avoir d’enseignements qu’ils peuvent mener à la connaissance du bonheur vrai parce que je ne crois pas que cela s’apprend comme le mentionne les apôtres et les marchands de bonheur. Nous ne pouvons trouver la parfaite démarche comme nous pouvons trouver pour construire un meuble. Nous devons travailler sur nous même et atteindre la sagesse parce qu’entre un bonheur qui n’est pas vrai et un qui les, il faut choisir avec humilité et sagesse la vérité, parce qu’un bonheur faut ne fera qu’alimenter notre ignorance. Je pense seulement que ces personnes nous apprennent à être des gens à double ignorance. C’est à dire que nous croyons que nous sommes heureux et qu’avec les outils que des gens comme Christine Michaud nous donnent nous atteindrons le bonheur. Selon moi, ce bonheur qu’ils essaient de nous apprendre est beaucoup plus illusoire que vrai. Comme le mentionne Gilles Gagner : « On est porté a croire qu’on trouve le bonheur dans la consommation. Or, à force de courir après le mieux être que les marchands du bonheur essai de nous apprendre, il devient décevant, ennuyeux et frustrant, bref on devient malheureux. [pic 12][pic 13][pic 14][pic 15][pic 16]
En conclusion, certains sont ceux qu’ils disent que nous pouvons apprendre a faire des choix qui ferons que nous atteindrions le bonheur et d’autres comme Comte-Sponville dise qu’il est presque impossible a l’obtenir et le garder complètement a cause de nos désirs. Je suis d’avis que les marchands ne nous fait que apprendre à trouver le bonheur qui n’est pas vrai. Par contre, désirer, est-ce nécessairement souffrir?
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