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Joie de vivre, Coluche

Par   •  8 Novembre 2018  •  1 252 Mots (6 Pages)  •  459 Vues

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OU EUPHORIE.

On se sent mieux vivre soudain, modifie notre être. Plus on est malheureux, plus on est euphorique.

La joie de vivre est une satisfaction subjective, modification de notre état. Mais comment l’obtenir ?

C’est une joie qui n’est pas non plus celle du bon vivant. Le bon vivant est celui qui va faire une expérience de contentement mais ce qui va être contenté sont les appétits de son corps. Or la joie de vivre est l’approbation/ une modification de notre être qui implique qu’on dit oui au moment présent tel qu’il se présente. Le moment présent on ne se lasse pas, qu’on soit des essentes ou qu’on soit menacé de mort. « Tant que je suis en vie, c’est ce qui compte. ». EX : Jacques LONDON.APPETIT DE LA VIE, joie de vivre étonnante, car malgré les épreuves, il dit oui à la vie. Force morale, confiance en l’avenir. La joie de vivre c’est de retrouver sa famille le soir. « OUI A LA VIE, JAIME VIVRE ». Joie de vivre totalement indépendante de ce qu’on vit. Il rit de la laideur.

Force morale ou déraison ? est ce qu’on peut être joyeux sans cause ? est-ce que le tragique de la vie n’implique pas qu’on perde le sourire ? est-ce que ce n’est pas un déni des malheurs et des épreuves ? cette humeur qui consiste à être gai malgré la gravité de la vie, est-ce

La joie de vivre ne s’apprend pas. Elle est insensée. Si on suppose que c’est une humeur légère qui est corrélative d’une approbation indéfectible qui ne fait pas défaut à la vie. Qu’est-ce que ça suppose qu’elle ne repose pas sur des raisons ? elle nous rend apte à rep aux plaisirs de la vie. Si on n’a pas de joie de vivre, les plaisirs de la vie nous rendraient pas joyeux. Même s’il y a la maladie, la mort, la vie n’apparait pas comme un fardeau mais une chance.

On approuve le fait même d’exister, de durer. Force morale ou déraison ? on vit sur un régime d’excitation qui ne repose pas sur des raisons de se réjouir. C’est une négation du tragique de l’existante. L’impuissance n’est pas

La joie de vivre suppose une approbation de la vie qui permet de surmonter le drame et malgré le drame, de dire « oui » à la vie. On aime la vie qd même. Il y a drame mais pas de tragique. On refuse de s’apitoyer sur soi. Existence malgré les épreuves qui donne lui à des contentements.

Force morale ou irrationalité ? Sagesse souveraine ou inconséquence/folie ?

EX : Simone Weil qui aide sa mère à Auschwitz.

- La joie de vivre est une force morale qui permet d’approuver tout ce qui advient. Individu insubmersible. Une puissance d’exister malgré tout.

- Mais ce « oui » indéfectible de la vie ne constitue-il pas un déni du tragique de la vie et ce déni est irrationnelle. L’approbation de la vie là où on pourrait apercevoir la légitimité d’un refus. Une forme d’enfermement intérieur, déconnecté de tout expérience. Comme si le corps n’était pas meurtri.

Faut-il détester la vie ? toutes les joies sont-elles condamnables ?

- Comment concilier conscience lucide du réel/ de l’imperfection de la réalité et un véritable contentement ? comment éprouver un contentement tout en ayant conscience de la réalité ? il faudra chercher des raisons d’être content. (EX : se réjouir pour d’autres ; être satisfait de faire un effort pour changer les choses/ joie dans la peine ; la béatitude (faire œuvre d’intelligence)).

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