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Jean-Marie Pelt et Pierre Rabhi, L’altruisme une société de coopération ?

Par   •  8 Octobre 2018  •  770 Mots (4 Pages)  •  506 Vues

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pour la première fois nous nous sentons responsables du monde que nous allons laisser à nos enfants. Nous devons partager un peu mieux non seulement avec nos contemporains mais aussi avec les générations futures.

Deuxième valeur, la sobriété de nos consciences : tout le monde doit pouvoir satisfaire ses besoins. Et les vrais besoins sont affectifs et spirituels et ne sont pas assez présents dans notre société.

Troisième valeur, la diversité : Elle amène à considérer et à apprécier les valeurs des autres et conduit à la paix. Comme nous le dit la devise de l’Europe ; “Unis dans la diversité”.

Enfin, quatrième valeur, la proximité avec la nature. Mac Millan disait déjà : “Il faut sauver les condors, pour nous sauver nous-mêmes”, alors que ses concitoyens faisaient des cartons sur ces magnifiques oiseaux. Préserver la nature, la comprendre, en tirer des leçons, c’est nous préserver nous-mêmes de nos démons destructeurs et donc de tuer de participer à l’extinction des espèces.

« Nous devons abandonner ce monde furieusement compétitif et libérer nos gènes d’altruisme qui ont été inhibés par la société ». « Aimez-vous les uns les autres ». Ainsi le changement serait radical.


Le Mouvement Colibri

Ce mouvement à été crée par Pierre Rabhi en 20à7 pour la Terre et l’Humanisme afin d’aider chacun à construire de nouveaux modèles de société fondés sur l’autonomie, l’écologie et l’humanisme.

Voici un conte amérindien raconté par Pierre Rabhi, qui illustre bien ce que représente l’altruisme.

Logo de l’association Colibris, Mouvement pour la Terre et l’Humanisme

« Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés et atterrés observaient, impuissants, le désastre.

Seul le petit colibri s’active, allant chercher quelques gouttes d’eau dans son bec pour les jeter sur le feu.

Au bout d’un moment, le tatou, agacé par ses agissements dérisoires, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Tu crois que c’est avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ? »

« Je le sais, répond le colibri, mais je fais ma part » . »

Pierre Rabhi

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