Essays.club - Dissertations, travaux de recherche, examens, fiches de lecture, BAC, notes de recherche et mémoires
Recherche

Les fonctions motrices et sensorielles

Par   •  14 Novembre 2018  •  1 179 Mots (5 Pages)  •  531 Vues

Page 1 sur 5

...

informations qui circulent le plus vite est l’équilibre, fibre de la sensibilité profonde, car on a besoin de s’adapter très vite à l’espace pour ne pas tomber

l’information qui va le plus lentement, est la douleur car la douleur n’a pas besoin n’a pas besoin d’être véhiculer jusqu’au cerveau mais essentiellement jusqu’a la moelle car c’est elle qui va la réguler dans la fibre nerveuse il y a l’aine et la myéline qui va l’entourer. les pathologies de fibres touchent l’axone lui même ou la myéline (syndrome de Gilin Barré) ou les deux comme par exemple avec la Sclérose en plaque qui peut devenir très grave qui vont touché les neurones.

donc trois grade de maladie : myéline, axone, neurones

(les migraines : un cerveau est indolore, la tension sur les méninges. modification du flux sanguins, des pressions, cela va tirer sur les méninges qui va provoquer les migraines)

Sensibilité :

Principe généraux : énergie diverse et variées : mécanique (toucher une surface), thermique, visuelle, auditif, chimique, qui vont être conduit par des récepteurs.

ex : récepteur à la chaleur sur notre peau : chaud / froid

Traitement de l’information : récepteur plus ou moins spécifique, dans ces récepteurs il y a des codage qui vont transformer le ressenti en information électrique pour les transmettre par les fibres et les voies nerveuse. Qui vont aller jusqu’à la moelle, le tronc cérébrale, le sous cortical ou le cortex.

La douleur :

Elle peut être soit chronique soit aiguë, elle est utile notamment la douleur aiguë.

Avoir mal, la douleur aiguë est fondamental car cela permet d’attirer l’attention sur la blessure et de savoir ne pas mobiliser l’endroit douloureux (ex : os cassé : jambe/ bras au repos), c’est une fonction d’alarme déconnecté de la réalité, elle n’a aucun rapport avec la sévérité (ex : syndrome du canal carpien = ressentir la douleur montre que la compression n’est pas si « importante » car si il n’y a plus des douleur cela veux dire qu’il y a une compression beaucoup trop importante et grave)

Donc parfois : + ça fait mal alors - c’est grave.

la douleur aiguë très localisé (piqure aiguille) ou diffuse.

la douleur chronique : intérêt d’alerte d’une pathologie / syndrome a part entière, il y a deux types de douleurs chroniques :

- excès de nociception : hyperstimlulation des récepteurs par lésion ou inflammation

- neuropathie : lésion des fibres ou voies nerveuse de la sensibilité, problème d’intégration modulaire, thalamique et corticale

Il y a deux composantes principales: senso-discriminative ou émotionnelle - affective

Pour évaluer la douleur, qu’elle soit chronique ou aiguë on utilise une échelle qui va de 0 (pas de douleur) à 10 (douleur maximal et inssuportable)

La motricité :

système a deux neurones :

- un neurones au niveau du cortex

- un neurone au niveau de la moelle épinière

la voie pyramidale est la voie principale de la motricité : elle connecte la cortex moteur du cerveau au cortex motricité de la moelle

le cerveau droit s’occupe de la motricité du coté gauche du corps et vis-versa

MOTRICITÉ : neurone dans le cerveau, qui va contacter les neurones dans la moelle, qui va contacter le muscle.

Au bout de l’axone il y a les neurotransmetteur : acétinecoline qui va stimuler / contracter la fibre musculaire.

L’acetinecoline va agir sur la fibre musculaire qui va produire le calcium de la fibre qui va permettre la contraction musculaire.

Physiopathologie des maladies neuro-musculaire :

...

Télécharger :   txt (7.4 Kb)   pdf (45.6 Kb)   docx (13.7 Kb)  
Voir 4 pages de plus »
Uniquement disponible sur Essays.club