La chirurgie orthopédique
Par Stella0400 • 20 Octobre 2018 • 1 193 Mots (5 Pages) • 514 Vues
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répondre à Melle Virginie et me voit couchée à sa place un instant en me disant que sa situation doit être effectivement très difficile. Devant cette situation je n’ai pas su gérer mes émotions, Melle Virginie elle même aussi confuse de ma réaction ne savait plus quoi me dire, je me suis reprise et lui demanda en quoi je peux lui être utile pour que ça aille un peu mieux pour elle, est ce la changer de position, aussi la veille le personnel soignant l’avais déjà trouvé un peu anxieuse et lui avait proposé la visite d’un psychologue qu’elle avait refusé en leur expliquant être entouré par sa famille et qu’elle ne voulait pas parler à une personne étrangère, et que cette personne n’allait rien réglé de plus pour elle. Lors de notre échange je lui ai proposé à nouveau avec des mots simples la visite du psychologue à son chevet, lui faisant comprendre qu’il était préférable de rencontrer cette personne qui ne résoudrait pas effectivement ses fractures mais qui l’aiderai à mieux prendre en charge son polytraumatisme, et durant notre conversation qui dura une vingtaine de minutes ou elle me reformule tout ce qui la dérangeait depuis son arrivé dans le service, telle que sa toilette qui était fait par des inconnus en l’occurence parfois des aides-soignants de sexe masculin, elle à fini par accepter de recevoir la visite du psychologue afin de l’aider à accéder son polytraumatisme et pouvoir mieux la prendre en charge durant son séjour au service orthopédie coté traumatologie. Aussi je proposa à Melle Virginie que sa toilette pouvait être faite par un membre de sa famille en l’occurence sa mère qui lui rend visite chaque jour et que si c’était dérangent elle pouvait faire savoir à l ‘équipe soignantes qu’elle ne souhaitait pas avoir la toilette par un homme ce que Melle Virginie accepta en appelant sa maman sur le faites pour pouvoir lui annoncer qu’a compter de ce jour que sa toilette allais être faites par elle (maman) Melle Virginie avait besoin d’être rassuré, ce que j’ai pu faire lors de notre échange pour la ramener à la raison de rencontrer le psychologue, il est vrai qu’a des moments pareils on peux être pris d’émotions ne sachant pas quoi faire lorsque le patient est anxieux et n’accepte pas sa pathologie ou traumatisme comme dans cette situation, mais il faut être réactive pour pouvoir répondre aux attentes des patients et lorsqu’ils manquent de confiance pourvoir les aider à aller mieux.
3-Conclusion
Dans ma situation, je ne pense pas avoir eu une bonne attitude en étant prise d’émotion devant la patiente et ne sachant pas comment réagir sur le coup lors de l’échange que nous avons eu, mais j’ai tout de même essayé de lui refaire prendre confiance en elle, en la valorisant lui faisant comprendre qu’un accident était vite arrivé malgré les précautions pris par chacun. ce qui m’a permise de pouvoir reprendre la discussion avec Melle Virginie qui a bien coopéré lors de notre échange qui fût utile parce qu’elle a fini par accepter la visite du psychologue, elle a pu aussi exprimer ses gênes et de ce faites avoir notre accord pour sa toilette qui pouvait être faites par sa maman à compter de ce jour. Une fois ces deux problèmes résolus l’histoire de la PCA qui lui suffisait pas au niveau de douleur devenu un problème second. Il était plus question de douleur mais son manque de confiance et baisse d’estime de soi qui mis Melle Virginie dans cette situation.
Avec plus d’expériences et de recul je pense que j’aurai rebondi sur sa situation dès lors la discussion établie. Ceci dit pour une prochaine situation pareille je serai mieux armés pour faire face à une telle situation.
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