Insertion sociale des jeunes
Par Junecooper • 26 Août 2018 • 2 216 Mots (9 Pages) • 651 Vues
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D’après le magazine « les notes de conseil d’analyse économique » depuis 2013 près de 1.9 millions des jeunes de 15 à 29 ans ne sont ni à l’école, ni en emploi, ni en formation soit 17% de cette tranche d’âge.
Comme le révèle le magasine aujourd’hui, l’insertion professionnelle des jeunes est un défis majeur.
Notre société, qui ce défini comme étant « Etat des êtres vivants qui vivent dans un groupe organisé. » le travail représente l’identité de l’individu au niveau individuel et en groupe. Mais à cette heure plusieurs facteurs rentre en jeux et rendent le monde du travail de moins en moins accessible notamment à cause des politiques moins illibéral mis en place par le gouvernement qui, d’année en année accroit le taux de chômage en France et qui reste un grand défi pour notre société.
L’intégration, (en sociologie, décrit les modes d’attachement des membres à un groupe ou à une société) des jeunes dans le milieu professionnel est très dure. Être jeunes n’ai plus un avantage de nos jours. Les jeunes font la course aux diplômes pour obtenir la meilleure « place », la situation financière des jeunes ou leur dépendance à la situation financière de leurs parents met un « frein » à l’intégration.
Le mot « jeunesse » est souvent synonyme de « galère à répétition » notamment à cause des logements trop chers ou notamment à cause du fait que les emplois des jeunes ne sont pas toujours à la hauteur de leurs curriculum vitae. Ils débutent sur le monde du marché à travers des missions en intérim, ou dans le meilleur des cas en CDD (contrat à durée déterminée). Le plus souvent ces jeunes adultes ne possède un emploi stable qu’à partir de la trentaine. Ce qui explique le fait, que les CDI sont occupés par plus de la moitié des salariés âgés d’environs 43ans.
Le taux de chômage est alimenté donc pas les jeunes adultes qui s’accroit d’année en année. Ce phénomène est dû au manque de diplôme ou au faible niveau d’étude, pourtant exigés aujourd hui pour être en possession d’un travail permettant un confort économique et social.
Il faut également savoir que le milieu géographique joue également sur l’entrée sur le marché du travail. D’après ONZUS (observatoire national des zones urbaines sensible) le taux de chômage des jeunes hommes vivant en zone urbaine sensible atteints 43% en 2009 cela est dû faible revenue des individus qui ne peuvent pas se permettre de réalisé de longue étude et qui cherche le plus tôt possible à sortir de leurs environnement en travaillant. En parallèle, les contrats en alternance ont connu une forte augmentation en 27 ans, ces contrats ont touché -20% des jeunes en 1989 et touche 50% des individus en 1999 et 2009. Or, en contrepartie les contrats à durée indéterminée sont à la baisse depuis 1999 touchant seulement moins de 30% des jeunes adultes.
L’insertion professionnelles des jeunes et liées à son identité sociale. Le monde du travail favorisera sa relation avec les autres et favorisera sa socialisation et sa place dans a société grâce à des facteurs d’indépendance économique et sociale qu’engendre le monde professionnelle.
Pour répondre au problème d’accès au travail pour les jeunes, des organismes sont mis en place pour favoriser leur insertion professionnelle.
Les missions locales sont sous la forme d’une association ou d’un groupe d’intérêt public. Ces structures permettent l’insertion professionnelle et sociale des jeunes elles peuvent être constituées entre l’état, les collectivités territoriales, les établissements publics, des organisations professionnelles. La mission principale de ses structures et d’aider les jeunes adultes âgées de 16 à 25 ans à résoudre les problèmes qui font barrières à leurs insertion sociale.
Celons les politiques sociales, Si le jeune adulte rencontre des difficultés à l’accès à l’emploi c’est tout ‘abord dû à de nombreux facteurs socio-économiques.
La moitié des jeunes chômeurs ne sont pas déclarés auprès de certains organismes tel que Pol emploi, ou même la mission locale. Les jeunes qui ne sont pas déclarés sont des jeunes adultes qui répondent à divers critères celons ces organismes :
Dans un premier temps, ces jeunes adultes ont souvent grandit dans un monde où le marché du travail est éloigné.
En second, les jeunes travailleurs ont de plus en plus envie de s’insérer sur le monde du travail rapidement et son à la recherche d’un travail à peine leur scolarité terminée.
Et pour finir, les jeunes adultes ont une idée bien précise de la façon qu’on ces organisme d’aide à aider les jeune en situation de handicap face à leurs insertion professionnelle.
Des démarches nouvelles ont été mis en place pour aider ses jeunes notamment le « coaching vers l’emploi » le rôle des professionnelles est de savoirs où ce « cache » les jeunes adultes en quête d’identité professionnelles afin de les aidés à construire un projet professionnelle grâce à l’aide de plusieurs acteurs culturels et des éducateurs sportifs. Les jeunes professionnels ne sont pas pris aux sérieux dû à leur manque d’expériences ou leur manque de diplôme. Leurs notions du travail n’ai pas de avant tout s’épanouir mais est, d’avant tout de « rapporter de l’argent à la maison » la notions de travail n’a pas de sens véritable et ne sont pas satisfait de la reconnaissance de leurs efforts.
Les problèmes évoqués précédemment sont très présent pour l’accession à une activité professionnelle. Et même si les jeunes non-diplômé rencontre des difficultés très présente, les jeunes professionnelles diplômés rencontre de plus en plus de difficultés, c’est une constatation qui est en pleine expansion d’année en année.
23% des chômeurs en 2008 sont titulaire d’un cap ou BEP et 32% de ces jeunes individus sont titulaires d’un baccalauréat. Mais pourquoi des résultats en tel expansions ?
Tout d’abord le niveau d’étude pour l’accès à un travail apportant confort économique et social et beaucoup plus conséquent qu’auparavant. En effet il y’a quelques année, être titulaire d’un baccalauréat était déjà avoir « un niveau d’étude correct » le monde du travail était accessible avec un simple baccalauréat ou un simple CAP ou BEP. Or aujourd’hui ce sont des diplômes qui sont, soit plus reconnu comme de réel diplôme, ou, sont soit le minimum à posséder pour
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