Conséquences de la santé publique

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Ces 2 effets pourrait expliquer l'augmentation de l'échec scolaire chez les jeunes consommateurs d'écrans. Une étude publiée en 2007 a montré qu'une augmentation de la consommation audiovisuelle chez l'adolescent multiplie par 2 le risque d'échec scolaire.

De façon générale, la quantité de sommeil quotidienne de nos concitoyens a baissé de 90 min sur les cinq dernières décennies, alors que notre besoin biologique n’a pas évolué. Or, le sommeil, est essentiel pour notre santé somatique, émotionnelle et cognitive. Il est aujourd’hui solidement établi que l’exposition aux écrans a un effet profondément néfaste sur le sommeil et que la présence, notamment, d’un écran dans la chambre de l’enfant est inversement corrélée non seulement à la quantité du sommeil, mais aussi à sa qualité (Cela est vrai que cet écran soit une télévision, une console de jeux ou un ordinateur).

On peut mettre cette partie a la fin des conséquences ou autre part

Quelques conseils

1. Dialoguer plutôt qu'interdire

Il est important que les parents s'adaptent aux nouvelles technologies pour rester en phase avec les jeunes et dialoguer. Les logiciels de contrôle parental sont nécessaires mais rien ne remplace le dialogue autour des écrans et la confiance qui permet de les responsabiliser aussi.

2. La règle des 3-6-9-12

C'est un repérage simple préconise d'interdire les écrans avant l'âge de 3 ans, les écrans peuvent avoir des conséquences sur plusieurs années avec des retards scolaires, des prises de poids mais aussi des troubles du langage. L'enfant doit d'abord mettre en place ses repères avec l'espace et le temps dans le réel, ce qui passe par des interactions sensorielles : toucher, voir, entendre, bouger.

Une heure entre 3 et 6 ans, à cet âge il est important d'inviter l'enfant à parler de ce qu'il voit sur les écrans. Les consoles et tablettes peuvent être un support occasionne de jeu en famille voir d'apprentissage.

Deux heures entre 6 et 9 ans et 3h au-delà, les avantages du numérique à ces âges sont réels. Ainsi certains logiciels de lecture ou de calcul permettent des profères lors de dyslexies. Ce sont donc les excès qui sont nocifs qui, entraine des carences en activités physiques et un isolement social.

3. Connaitre les points de vigilance

L'apparition de somnolence, des difficultés de concentration, ainsi que la baisse des résultats scolaires peuvent être une sonnette d'alarme pour les parents sur des usages nocturnes excessifs. Ils sont bien souvent réversibles.

Respecter les âges indiqués sur les programmes et les jeux vidéos est nécessaire pour éviter chez l'enfant des troubles du sommeil ou bien une insécurité psychique qui peuvent être causés face à la violence de certaines images.